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Admission en L1 : Quand les facs en viennent à parier sur l’échec en licence
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Admission en L1 : Quand les universités en viennent à parier sur l’échec en licence !
Comme en 2015, le nombre de néo-bachelier-e-s souhaitant s’inscrire à l’université en L1 augmente. Et, comme en 2015, les universités n’ont pas les moyens pour les accueillir -et ne souhaitent pas toujours les mettre -.
Durant cet été, va se jouer un jeu de cynisme, dont les universités et le gouvernement sont les acteurs et dont les étudiant-e-s seront encore les victimes. Rassurons-nous, les inégalités sociales triompheront !
Alors que le Tribunal Administratif de Bordeaux a (enfin !) jugé, en juin dernier, la sélection par tirage au sort comme illégale, les universités cherchent des « solutions » pour justifier que des milliers d’étudiant-e-s vont se retrouver « sans fac » ou dans une filière qu’ils/elles n’ont pas (du tout) choisi, alors que le système APB, sous couvert de « choix libre », est extrêmement inégalitaire.
Extensions des capacités d’accueil et nouveaux critères de sélection
Ainsi les universités étendent les filières concernées par des « capacités d’accueil », théoriquement basées sur les limites matérielles de l’université.
D’autres établissements privilégient la mise en place de critères de sélection comme le recrutement régional. Ces critères sont encore plus stricts pour les étudiant-e-s en réorientation (exigence de mentions au bac par exemple).
Enfin, certains établissements élargissent leurs horaires : les cours débuteront avant 8h et finiront après 20h.
Parier sur l’échec
Mais la principale nouveauté est le fait de parier sur l’échec des étudiant-e-s. Alors que l’échec en L1 est important, certaines universités n’hésitent pas à accepter plus de candidat-e-s qu’elles n’ont de places. Un raisonnement comptable qui n’est pas sans conséquence. En perspectives : des groupes de TD et des amphis surchargés et des étudiant-e-s découragé-e-s par des conditions d’études indignes. En bref, parier sur l’échec c’est le produire ou, tout du moins, l’accentuer.
Solidaires Étudiant-e-s s’alarme à nouveau de cette situation et rappelle sa revendication d’une université ouvert à toutes et tous, financée à hauteur des besoins.
Solidaires étudiant-e-s, syndicats de luttes
Porte-parolat : 06.86.80.24.45
http://www.solidaires-etudiant-e-s.org/





