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Un collectif de salariés à Avignon désigne le gouvernement "persona non grata"
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Un collectif de salariés du Festival d'Avignon a déclaré "persona non grata" tout membre du gouvernement qui se rendrait dans les salles du festival In d'Avignon, selon un communiqué mercredi soir le 13 juillet. Mais la très faible part des votants parmi le nombre total de salariés du Festival (17% des équipes) relativise l'importance de ce vote, selon la direction du Festival.
"Dans le cadre de la lutte contre la loi travail et suite à l'assemblée générale du 12 juillet, les salariés du Festival ont été invités à se positionner sur le "persona non grata" aux spectacles du Festival In d'Avignon", indique le communiqué du 13 juillet au soir.
88% des votants pour le persona non grata
Sur 125 votants, 88% ont voté pour déclarer "persona non grata" tout membre du gouvernement, soit 111 "oui", 10 "non" et 4 "blanc". "Il ne s'agit pas d'empêcher les spectacles de se tenir, mais de ne pas débuter un spectacle tant que le membre du gouvernement présent n'aura pas quitté la salle", a indiqué un membre du collectif joint par l'AFP.
Le collectif du "in" a déjà organisé plusieurs votes en faveur de la grève pendant la préparation du Festival en juin, à l'occasion des journées nationales d'action contre la Loi Travail, entraînant des retards dans le montage de certains spectacles.
Un nombre de votants à relativiser, selon le Festival
Selon le directeur délégué du Festival Paul Rondin, 620 salariés et 20 stagiaires travaillent actuellement au festival, soit 640 électeurs potentiels. "Le nombre de votants pour le persona non grata représente donc 17,34% des équipes", a-t-il précisé.
La ministre de la Culture Audrey Azoulay a pu assister sans perturbation aux "Damnés" de Visconti pour la première le 6 juillet et à d'autres pîèces sans publicité. Elle a également visité mercredi 13 le Village du Off sans encombre, en dépit de la présence d'une dizaine de manifestants brandissant des pancartes "49-3".