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La demande de libération de Jacqueline Sauvage rejetée
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
JUSTICE - C'est la douche froide pour la famille de Jacqueline Sauvage. Le juge d'application des peines de Seine-et-Marne a rejeté vendredi 12 août sa demande de libération conditionnelle.
Cette décision intervient plus de six mois après que François Hollande a accordé une grâce partielle à cette sexagénaire condamnée en appel à dix ans de prison par la cour d'assises du Loir-et-Cher en décembre 2015. Le chef de l'Etat avait supprimé une partie de sa peine permettant à la femme de 68 ans de demander immédiatement une remise en liberté conditionnelle.
S'en est suivi un long processus avec notamment un changement de prison; elle était passée d'une maison d'arrêt du Loir-et-Cher à celle de Réau en Seine-et-Marne. A l'audience le 22 juillet, le procureur avait requis la libération qui aurait pu se faire sous bracelet électronique. Il va faire appel de la décision. Celui-ci devrait être examiné avant la fin de l'année.
Avis défavorable d'une commission d'experts
Pour la prendre, le juge s'est basé sur l'avis de la commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté, où siègent notamment le préfet du département et un bâtonnier qui a émis un "avis défavorable". Les expertises psychiatriques avaient pourtant donné un résultat positif, selon les avocates de Jacqueline Sauvage. Ce qui a pu jouer aussi dans la décision, c'est l'avis défavorable donné par le procureur du Loiret où habite l'une de ses filles chez qui elle avait prévu de s'installer.
"Il est précisé qu'elle ne peut prétendre vivre à proximité des lieux des faits (son nouveau domicile aurait été situé à 15km des lieux du meurtre, ndlr), dans un environnement qui compte tenu des soutiens dont elle bénéficie risquerait de la maintenir dans une position victimaire", ont expliqué ses avocates.
Si le risque de récidive a été écarté, Europe 1 affirme que le juge a également considéré que la demande de libération était prématurée.
"C'est une décision incompréhensible et choquante", ont dénoncé les avocates au cours d'une conférence de presse. "On a voulu appliquer une position politique qui ne tient pas compte de l'intérêt particulier de Jacqueline Sauvage. C'est un acharnement judiciaire qui est la conséquence d'un bras de fer de l'institution judiciaire qui ne veut pas accepter la grâce présidentielle", ont-elle ajouté.