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Goodyear: une relaxe et sept peines avec sursis pour les ex-salariés
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(afp) Ils avaient été condamnés en première instance à neuf mois de prison ferme pour avoir retenu deux dirigeants de l'usine d'Amiens-Nord.
Presque un an jour pour jour après leur condamnation en première instance à neuf mois de prison ferme, les huit ex-salariés de l'usine Goodyear d'Amiens-Nord viennent d'être devraient être fixés sur leur sort: la Cour d'Appel d'Amiens a prononcé la relaxe totale pour l'un des huit ex-salariés et des peines de prison avec sursis allant jusqu'à 12 mois pour les sept autres.
Dans cette affaire, les huit prévenus, membres ou sympathisants CGT, sont poursuivis pour «séquestration et violences en réunion». Les faits remontent aux 6 et 7 janvier 2014. Après l'annonce de la fermeture du site Goodyear d'Amiens-Nord, quelques dizaines de salariés en colère ont occupé, durant une trentaine d'heures, leur usine de pneumatiques, retenant enfermé le directeur des ressources humaines et le directeur de la production.
Lors de cette séquestration «la dignité humaine a été touchée et nous ne pouvons pas tolérer ce genre de comportement quel que soit le contexte», avait estimé lors du procès, l'avocat général, Dominique Tailhardat. À ses yeux, les faits reprochés aux salariés relevaient de la «délinquance pure et simple». Eux avaient expliqué cet excès de colère par «le carnage social de Goodyear dans une région déjà très sinistrée» et fustigé l'«échec complet» des mesures de reclassement.




