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Un patron accusé de harceler ses salariés candidat "En marche"
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le "renouveau" est bien en marche : "En marche" recycle les harceleurs, les escrocs, les homophobes, les corrompus : cf. http://tendanceclaire.org/breve.php?id=24042
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C'est une information France Bleu Roussillon. Le candidat de La République en Marche pour les législatives dans les Pyrénées-Orientales est visé par une enquête préliminaire demandée par le parquet de Perpignan.
Voilà qui pourrait plomber la campagne de Romain Grau. Le candidat de La République en Marche dans la première circonscription est visé par une enquête préliminaire demandée par le parquet de Perpignan, et menée par la Brigade de Gendarmerie des Transports Aériens (BGTA) de Rivesaltes.
Romain Grau, camarade de promotion d'Emmanuel Macron à l'ENA, est directeur général de EAS Industries, l'entreprise de maintenance aéronautique à l'aéroport de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. L'enquête est ouverte pour "harcèlement moral" au sein de cette entreprise.
Tout est parti d'une dénonciation anonyme, qui a incité le procureur de Perpignan à lancer une enquête. Les enquêteurs se sont notamment rendus sur place jeudi et vendredi, dans les locaux au bout de la piste de l'aéroport de Rivesaltes, pour auditionner des salariés de l'entreprise.
Des pressions sur les salariés, des cadences infernales
Ces salariés sont terrorisés. Ils ne souhaitent pas s'exprimer publiquement sur leurs conditions de travail. Sur plus de 200 employés, au moins 10% sont en arrêt maladie. Surmenage, burn-out, cadences infernales, jusqu'à 60 heures par semaine, et surtout une pression de la direction pour faire sortir à tout prix les avions des hangars, même si la maintenance est bâclée. Fin février par exemple, les ouvriers ont dû faire sortir cinq avions en une seule semaine.
Il faut dire que la situation financière de l'entreprise est très délicate. Selon nos informations, la société doit 100.000 euros à l'aéroport de Perpignan. Une dette due à des loyers impayés pour le terrain, pour des bâtiments et des places de stationnement pour les avions. Le litige traîne depuis plusieurs mois.




