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Manif à Paris contre la visite de Trump et "la guerre sociale de Macron"
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Monde) Plusieurs centaines de personnes ont manifesté vendredi entre la place de Clichy et le métro Barbès à Paris à l’appel du collectif Front social.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté, vendredi 14 juillet, entre la place de Clichy et la station de métro Barbès à Paris contre Emmanuel Macron et la visite de Donald Trump en France à l’occasion du 14-Juillet.
La manifestation était organisée par le Front social, composé de syndicats, comme CGT et SUD, d’associations et de collectifs, dont Droit au logement et Droits devant, et de partis, comme La France insoumise, le Front de gauche ou encore le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).
« On n’en veut pas de cette société-là ! »
Si les banderoles associaient Donald Trump et le président français, le vrai sujet de contestation reste, pour les organisateurs, la « guerre sociale de Macron », dont ils craignent que les ordonnances permettent de détruire le code du travail.
On retrouvait les slogans des manifestations du printemps 2016 contre la loi travail et l’état d’urgence : « On n’en veut pas de cette société-là ! », « Ils pillent les ressources et ferment les frontières, capitalistes, impérialistes, colonialistes… », agrémentés de « Ahou, ahou, anticapitaliste ! » et autres « Tout le monde déteste la police ! » « Contre Trump, Macron et sa guerre sociale », pouvait-on entendre également.
Depuis la présidentielle, le collectif Front social a déjà appelé à plusieurs rassemblements contre les projets de réformes sociales d’Emmanuel Macron. Philippe Poutou, candidat du NPA à la dernière élection présidentielle, a admis que « ce ne serait pas la grosse manif qui va marquer l’été », mais il a jugé « important d’être là » et « de construire une riposte » contre les ordonnances à venir sur le code du travail.
En cours de cortège, plusieurs dizaines de personnes, en noir et cachées sous des capuches, foulards et lunettes pour certains se sont placées devant la banderole de tête. « Etat d’urgence, Etat policier, on ne nous empêchera pas de manifester », scandaient-ils, face à un cordon de gendarmes boulevard de la Chapelle. Des opposants au premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou, attendu dimanche à Paris, étaient également présents.
Avant de se quitter, vers 16 h 30, les orateurs ont égrené les rendez-vous sociaux à venir, avec notamment une manifestation le 30 août à l’université d’été du Medef, puis le 12 septembre lors de la journée « contre la réforme du code du travail » organisée par la CGT.




