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Il rend sa Légion d’honneur pour dénoncer le sort des migrants
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le médecin humanitaire Raphaël Pitti a choisi de renoncer à sa Légion d'honneur pour protester contre les conditions d'accueil des migrants en France. Il était l'invité de Bourdin Direct ce jeudi matin.
"Indignes des valeurs de la République française". C'est ainsi que Raphaël Pitti qualifie les conditions d'accueil des migrants en France. Pour dénoncer le désengagement de l'Etat sur la question ce médecin humanitaire et conseiller municipal de Metz a décidé de rendre sa Légion d'honneur.
"Dans mon action municipale, j'ai aussi à m'occuper des migrants. Et quand je vois les conditions d'accueil qui sont faites aux migrants à Metz, c'est indigne des valeurs que porte la République française qui se veut en même temps un pays d'accueil et de défense des Droits de l'homme", s'est-il indigné ce jeudi matin face à Apolline de Malherbe.
"Des circulaires répressives"
Et de dénoncer les actions répressives du gouvernement: "A partir du mois de décembre, les circulaires du ministère de l'Intérieur ont été essentiellement répressives à l'encontre de ces populations. Lorsque le ministre reçoit les associations et leur demande de dénoncer les personnes en situation illégale dans les centres d'hébergement". "Je ne vois pas d'inconvénient à ce qu'il y ait des contrôles de police mais lorsque l'on demande aux associations humanitaires de le faire, on est dans des choses qui rappellent une certaine histoire et Vichy en particulier", a-t-il aussi jugé.
Raphaël Pitti estime que le gouvernement ne prend pas la mesure de la crise migratoire et réclame une véritable politique d'accueil: "Nous sommes devant un changement de société: il y a une crise migratoire mondiale qui est d'importance et les mesures qui sont prises ne sont pas en rapport avec cette crise migratoire. C'est un problème de société. Il faut des Assises et pas seulement une loi. La France doit décider de la politique migratoire qu'elle veut en accord avec les grands acteurs humanitaires".