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La CGT Energie coupe le courant à la gare Saint-Jean à Bordeaux
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
MOBILISATION - Une coupure de courant, revendiquée par la CGT Energie, a eu lieu mardi 24 avril en gare de Saint-Jean, à Bordeaux. Celle-ci a duré plusieurs heures, paralysant entre autres les guichets et les panneaux d'affichage.
Problème de jus ce mardi à la gare Saint-Jean de Bordeaux. Dans un élan de convergence des luttes, la CGT Energies 33 a coupé le courant dans l’ensemble du bâtiment ferroviaire à 11h30, alors que les cheminots étaient eux aussi mobilisés, au 10e jour de grève perlée du mouvement. Si la SNCF nous a assuré que seules les lumières avaient été privées d’électricité, la photo de ce journaliste officiant pour plusieurs médias du sud-ouest de la France semble montrer une coupure de courant plus large, qui aurait entre autres affecté les panneaux de signalisation.
Interrogé au téléphone, Christophe Garcia, secrétaire général CGT Energie de Bordeaux, évoque pour sa part des écrans et des micros de communication coupés, ainsi que des guichets et des commerces fermés. La circulation des trains, perturbée par la grève des cheminots, n'aurait en revanche pas été affectée par la coupure, tout de même responsable de quelques dégâts collatéraux. "Un certain nombres de commerces et d'habitations à proximité de la gare ont aussi subi cette coupure de courant", explique le syndicaliste.
L'électricité, qui devait initialement être rétablie assez rapidement, n'a finalement été remis qu'aux environs de 16h par Enedis, chargée de l'opération. "C'est bien la preuve qu'il y a une réelle dégradation du service public", se désole Christophe Garcia.
"Nous sommes victimes depuis 20 ans de la libéralisation du secteur de l'énergie", s'agace le secrétaire général CGT Energie de Bordeaux. "Depuis 2005, les factures ont, suivant l'énergie, augmenté de 30 à 70%. Douze millions de Français sont aujourd'hui en situation de précarité énergétique. Cela signifie qu'ils ne peuvent plus payer leur factures", poursuit l'homme, dont le syndicat réclame dans un communiqué un avenir "plus juste pour tous".
Selon Christophe Garcia, d'autres actions, parmi lesquelles "la remise en énergie d'un maximum de personnes en situation précaire", auront lieu prochainement. La FNME-CGT appelle par ailleurs les travailleurs de l’énergie à être présents les 26 avril, 1er et 3 mai dans toutes les actions et manifestations proposées par les syndicats CGT locaux.




