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Besancenot interpelle les absents au "meeting unitaire" de la gauche
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
1er MAI - Deux à trois cents personnes se sont retrouvées ce lundi 30 avril place de la République à Paris pour un "meeting unitaire" des forces politiques de gauche -moins la France insoumise et le PS- censé donner le "coup d'envoi" des mobilisations du mois de mai, a constaté une journaliste de l'AFP.
Dix organisations avaient appelé à ce rassemblement, décidé il y a une dizaine de jours, dont le PCF, Ensemble, EELV, le Parti de gauche, Générations, Nouvelle Donne. "C'est un beau symbole d'organiser ce soir, à la veille du 1er mai, et malgré ce temps exécrable, ce rassemblement unitaire pour donner en quelque sorte le coup d'envoi des mobilisations de mai", a lancé à la tribune le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, devant une assistance transie sous la pluie glaciale.
Laurent a rappelé les nombreuses mobilisations qui ponctueront la semaine: marche du 1er mai, manifestations des cheminots et des étudiants et enseignants le 3, "fête à Macron" le 5, à l'initiative du député LFI François Ruffin. Alors que manquait à l'appel la France insoumise, et que les syndicats abordent la journée de mardi en ordre dispersé, Laurent a insisté sur la nécessaire "unité" des forces de gauche.
L'unité est essentielle dans ce conflit
Même message de la part de la part d'Olivier Besancenot (NPA): "Il sera beau ce mois de mai, vous verrez, il sera beau, et ceux qui ne comprennent pas que l'unité est essentielle dans ce conflit, ils reviendront de toute façon, parce qu'ils n'auront pas le choix, parce qu'il n'y a pas de place pour le sectarisme. On a besoin d'une victoire sociale et politique, et cette victoire sociale et politique on va la gagner toutes et tous ensemble", a-t-il souligné.
L'ancien candidat à la présidentielle a aussi insisté sur l'obligation pour les politiques de rester derrière le mouvement social -un message à l'intention de Jean-Luc Mélenchon, qui avait pu donner le sentiment à l'automne de vouloir concurrencer les organisations syndicales.
"Notre responsabilité politique à nous, ce n'est pas d'avoir la grosse tête, ce n'est pas de se substituer aux luttes réelles (...) mais c'est de pousser dans le même sens, faire le B-A BA, la fameuse convergence des luttes, l'alliance entre les luttes", a-t-il déclaré.
Le député européen Guillaume Balas a pris la parole au nom de Générations, ainsi que des représentants des autres organisations politiques, et des acteurs des luttes -cheminots, salariés de La Poste ou de Carrefour, personnels hospitaliers...




