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Italie: vers un gouvernement M5S/Ligue anti-immigrés et pro-euro
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Un accord se dessine entre l'extrême-droite (Ligue) et le mouvement "populiste" 5 Etoiles. Alors que ces deux organisations faisaient croire à leur électorat populaire qu'elles étaient contre l'euro, elles disent aujourd'hui qu'il n'est pas question de rompre avec l'euro. Elles vont donc se mettre d'accord pour défendre les intérêts du capital et attaquer les immigrés. La bourse est rassurée.
L'accord serait définitif et ne parlerait pas d'une sortie de l'euro, mais les deux dirigeants populistes réfléchissent toujours au nom du futur président du Conseil.
Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les populistes chefs de file du Mouvement 5 étoiles et de la Ligue sont sont entrés, jeudi, dans la dernière ligne droite avant la possible formation du premier gouvernement antisystème dans un pays fondateur de l'Union européenne.
Quelque « points mineurs » à finaliser
Après la première annonce d'un accord , dimanche, suivi d'un soudain « clash » entre eux , mardi, les deux dirigeants seraient parvenus à un accord définitif sur leur contrat de gouvernement, maisréfléchissent toujours au nom du futur président du Conseil italien , selon une source proche du M5S. Il reste quelque « points mineur s » à finaliser dans l'accord, a affirmé Luigi Di Maio devant la presse à l'issue de sa rencontre avec le dirigeant de la Ligue, en ajoutant que tout serait réglé d'ici ce jeudi soir.
Deux mois et demi après les législatives du 4 mars, qui n'ont pas débouché sur une majorité claire, les deux partis avaient annoncé mercredi soir avoir rédigé un « contrat pour le gouvernement du changement » en 22 points et 40 pages, mais avec six points restant en balance, qui a été soumis aux deux chefs de file.
Pas de sortie de l'euro en vue
Selon le M5S, le programme ne comporte aucun élément relatif à une sortie de l'euro.
L'éventualité d'un « Italexit » n'apparaîssait d'ailleurs plus noir sur blanc dans les dernières versions du programme de gouvernement publiées jeudi matin par les médias italiens, ce qui a contribué à calmer quelque peu les inquiétudes. Après avoir plongé de 2,3%, mercredi, la Bourse de Milan était toutefois encore en baisse jeudi midi, tandis que le spread -l'écart entre les taux d'emprunt italien et allemand à dix ans- pointait à 156 points (soit +25 points depuis mardi).




