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Sacré Benalla ! Il draguait sur Internet sous le nom de "Mars" et affichait sa proximité avec "Jupiter"
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L'année dernière, Alexandre Benalla affichait fièrement sa proximité avec Emmanuel Macron jusque dans son profil Tinder.

"Mars. Homme de 26 ans. Paris" : Sur Tinder, c'est le genre de profil qui existe par millier. Sauf qu'à y regarder de plus près, celui-ci n'était pas comme les autres. Sur les cinq photos du profil de ce mystérieux "Mars", alias Alexandre Benalla, dont trois sont à découvrir dans le numéro de Closer en kiosques ce vendredi 3 août, plusieurs clichés présentent l'ancien chargé de mission à la présidence de la République aux côtés d'Emmanuel Macron. Mieux : Alexandre Benalla allait jusqu'à afficher sa proximité avec son patron jusque dans son pseudo, revendiquant avec celui-ci une place clef dans la galaxie de la macronie. Sur Tinder, Alexandre Benalla avait en effet choisi d'être... Mars, soit la planète qui précède Jupiter, le surnom non-officiel d'Emmanuel Macron, dans le système solaire !

Le "superlike" de Mars
Toujours en costume sombre et strict, il apparaît sur les photos postées sur Tinder au premier plan devant le président de la République ou à quelques mètres de la rencontre avec Donald Trump ! Closer a mis la main sur ses clichés via le "superlike" déposé par "Mars" sur le profil d'une jeune femme, il y a déjà plusieurs mois. A l'époque, celle-ci avait été interloquée par les clichés au cœur de la République affichés par ce mystérieux Mars sur son profil, et avait tenté d'en savoir plus, mais sans grand succès...
On rappelle à ceux qui auraient passé la deuxième moitié du mois de juillet complètement déconnectés que, depuis le 18 juillet, Alexandre Benalla est au cœur de "l'affaire Benalla", après avoir été identifié par le journal Le Monde comme frappant des manifestants, le 1er Mai, alors qu'il participait comme observateur à une mission de maintien de l'ordre de la police. Depuis, Alexandre Benalla, dont le licenciement a été annoncé par l'Elysée le 20 juillet, avant d'être placé en garde à vue les 20 et 21 juillet, ce qui l'a d'ailleurs conduit à reporter son mariage, s'est lancé dans une grosse campagne de com'.
Il a ainsi multiplié les interviews, d'abord, très sérieux dans Le Monde, puis, en mode copier-coller, rasé de près devant les caméras de TF1, avant de faire la Une du JDD, avec le récit volontairement tire-larmes de son enfance. Alexandre Benalla a été mis en examen pour "violences volontaires", "immixtion dans l'exercice d'une fonction publique", "port public et sans droit d'insignes réglementés", "recel de détournement d'images issues d'un système de vidéo-protection" et "recel de violation du secret professionnel".




