[RSS] Twitter Youtube Page Facebook de la TC Articles traduits en castillan Articles traduits en anglais Articles traduits en allemand Articles traduits en portugais

Newsletter

Ailleurs sur le Web [RSS]

Lire plus...

Twitter

Liberté pour Khalida Jarrar et touTes les prisonnierEs palestiniens

Palestine

Lien publiée le 27 octobre 2018

Tweeter Facebook

Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

Communiqué du NPA. Liberté pour Khalida Jarrar et touTes les prisonnierEs palestiniens !

Khalida Jarrar, élue au Conseil législatif palestinien sous l’étiquette du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), est détenue dans une prison israélienne depuis le 2 juillet 2017, sous le régime de la détention administrative. Cette procédure permet à l’armée de maintenir quiconque en prison, pour des périodes de trois à six mois renouvelables à l’infini, sans chef d’inculpation et sans qu’aucune preuve ne soit produite. C’est sous ce régime que Salah Hamouri a été détenu pendant plus d’un an jusqu’à sa récente libération, sur la base d’un « dossier secret » auquel la défense n’avait pas accès, au mépris de toutes les conventions internationales.

Résultat de recherche d'images pour "Khalida Jarrar"

Notre camarade Khalida Jarrar vient de voir sa détention reconduite, pour la quatrième fois consécutive, pour une durée de quatre mois. Raison invoquée (sans aucune preuve) : elle serait une « menace » pour la sécurité d’Israël. Khalida a déjà été emprisonnée entre le 2 avril 2015 et le 3 juin 2016 pour le même motif, et sans aucun élément incriminant.

Assez d’acharnement ! Le NPA exige la libération immédiate de Khalida Jarrar, qui n'a rien à faire dans les prisons israéliennes, à l'instar des près de 6000 prisonnierEs politiques palestiniens. 

Nous continuerons de nous investir dans la campagne BDS (boycott-désinvestissement-sanctions) : Israël est un État hors-la-loi, qui doit être traité comme tel, et non choyé comme il l’est par les autorités françaises, complices de la répression coloniale.

Montreuil, le 25 octobre 2018