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Un gilet jaune a eu la main arrachée à Tours pendant la manifestation
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
De violents affrontements, qui perduraient dans la soirée, ont éclaté lors d'une manifestation des gilets jaunes dans le centre de Tours, faisant plus de 30 blessés dont un manifestant qui a eu la main arrachée, ont indiqué samedi 1er décembre la préfecture et les pompiers. La manifestation a rassemblé près de 1.300 personnes, a indiqué la direction départementale de la sécurité publique (DDSP).
"La manifestation a dégénéré peu après son départ à 14h et des actes de violence sont toujours en cours. Des vitrines de magasins viennent d'être prises pour cible", a déclaré à l'AFP en début de soirée la directrice de cabinet du préfet, Ségolène Cavalière. "Nous avions parmi les gilets jaunes une centaine de casseurs qui étaient juste venus pour en découdre et s'en sont pris aux forces de l'ordre avec des pavés, des jets d'acide et des projectiles en tous genres", a-t-elle ajouté.
"C'est très rare d'avoir à Tours une manifestation aussi violente", avait précisé auparavant le commissaire de permanence à l'Hôtel de police, indiquant que les personnes qui avaient fait acte de violence portaient aussi un gilet jaune et que certaines avaient "le visage masqué".
Le gilet jaune a été blessé par une grenade lancée par la police
La préfecture a recensé une vingtaine de blessés parmi les manifestants, dont un "a eu la main arraché après avoir pris une grenade lancée par les forces de l'ordre", ont précisé à l'AFP Mme Cavalière et les pompiers. Le manifestant a été transporté au CHRU Trousseau. Côté policier, on dénombre 15 blessés. De source policière, au moins 4 personnes ont été interpellées.
La préfecture a par ailleurs indiqué qu'une cellule judiciaire serait "mise en place dès lundi pour exploiter les bandes de vidéo-surveillance et retrouver les individus". Les dégâts matériels sont également "importants", a précisé la préfecture, avec des panneaux urbains arrachés, la grande fontaine du centre-ville endommagée, des feux sur les rails du tramway ou encore un départ de feu sur la terrasse d'un restaurant.
Dans un tweet, le maire de Tours Christophe Bouchet a "condamné fermement tous les débordements de quelques dizaines de casseurs, qui se sont mêlés aux gilets jaunes et gâchent leur authentique colère". La veille, des incidents avaient déjà opposé les policiers à 700 lycéens venus manifester contre la réforme du bac. Dix personnes ont été placées en garde à vue, dont 8 mineurs.




