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Les salariés de Sanofi manifestent à Paris contre le plan social
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les sites de recherche de Toulouse et de Montpellier, les plus touchés par le projet de restructuration du laboratoire pharmaceutique, représentaient une part importante des manifestants, au nombre d'un millier selon la police et de plus du double selon les syndicats.
"La production, la recherche, la distribution ont tous été touchées par des plans sociaux. Cela fait 10 ans que nous vivons cela. C'est insupportable.
Sanofi fait énormément de bénéfices. C'est à eux de faire des efforts. Nous en avons assez faits", a déclaré une salariée du centre de production de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne.
Ce plan social, qui vient s'ajouter à celui d'autres grandes entreprises françaises comme PSA Peugeot Citroën ou Alcatel, a été vivement contesté par le gouvernement qui le juge toujours excessif.
Plusieurs députés de la majorité ont marqué leur solidarité avec les salariés de Sanofi en rejoignant le cortège, qui partait du siège du groupe rue de la Boétie pour s'achever devant l'Assemblée nationale où une délégation a été reçue.
Un imposant dispositif policier composé de gardes mobiles avait été mis en place tout autour de l'Assemblée.
Sur leurs banderoles, les manifestants s'insurgeaient contre un plan qui va conduire "à un démantèlement de la recherche" et dénonçaient des licenciements boursiers.
"Sanofi tue sa recherche en France", pouvait-t-on lire sur des pancartes tandis que d'autres barraient le nom de Sanofi pour le remplacer par "Sanofric".
"Viehbacher dégage", ont scandé des manifestants tandis que d'autres qualifiaient le directeur général du laboratoire de "Saigneur de Sanofi".
Dans un communiqué, le président de Sanofi France, Christian Lajoux, a réaffirmé de son coté la volonté du groupe de dialoguer avec les partenaires sociaux, réaffirmant que le plan ne comportait pas de licenciements secs et qu'il était basé sur le volontariat.
S'agissant de l'avenir du site de Toulouse, Christian Lajoux a rappelé qu'un groupe de travail réunissant les représentants de Sanofi, du gouvernement et des acteurs publics locaux allait être constitué "pour étudier toutes les solutions pour que le site garde à terme une vocation scientifique et technologique". Un comité de groupe a été suspendue dans la matinée en raison du refus de la direction de retirer ce plan.