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Venezuela: Washington appuie la tentative de coup d’Etat
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le président du Parlement vénézuélien, Juan Guaido s’est proclamé, mercredi, chef de l’Etat par intérim. Il a été immédiatement reconnu par Donald Trump.

Rally des opposants au président vénézuélien Nicolas Maduro à Caracas, le 23 janvier. ADRIANA LOUREIRO / REUTERS
Donald Trump a sauté le pas. En reconnaissant Juan Guaido comme président par intérim du Venezuela, mercredi 23 janvier, le président des Etats-Unis a accentué sa pression sur le régime de Nicolas Maduro. Ce dernier a réagi en annonçant la rupture des relations diplomatiques et le départ, sous soixante-douze heures, des diplomates américains présents dans le pays.
A Washington, le département d’Etat a répliqué en estimant que « les Etats-Unis ne reconnaissent pas le régime de Maduro ». « Par conséquent, les Etats-Unis ne considèrent pas que l’ancien président Nicolas Maduro dispose de l’autorité légale pour rompre les relations diplomatiques avec les Etats-Unis ou pour déclarer nos diplomates persona non grata », a-t-il ajouté avant d’évoquer les « actions appropriées » qui seraient prises en cas de menaces contre la sécurité de sa représentation.
La décision de Donald Trump couronne une longue montée des tensions entre deux pays à couteaux tirés depuis deux décennies, et que son arrivée à la Maison Blanche a encore dramatisé. Le président américain n’a pas manifesté beaucoup d’intérêts pour l’Amérique latine où il ne s’est rendu qu’une fois depuis son élection dans le cadre du sommet du G20 organisé en novembre 2018 en Argentine. Il a en revanche très vite fait du Venezuela une priorité, adoptant une ligne dure à laquelle il s’est tenu avec constance.
Régulièrement accusé de mansuétude ou de faiblesse vis-à-vis des régimes autoritaires, Donald Trump n’a cessé en outre de mettre en avant, dans le cas vénézuélien, des valeurs qu’il mentionne rarement. Il a ainsi déclaré, mercredi, que sa décision répondait à l’exigence de « liberté » et d’« Etat de droit » du « peuple du Venezuela », assurant que les Etats-Unis sont déterminés à « faire pression en faveur du rétablissement de la démocratie ».




