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CGT, France insoumise, gilets jaunes... Appel à l’union pour une «grande mobilisation» sociale le 27 avril
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Plusieurs organisations ont appelé ce mardi à une « grande mobilisation nationale » le samedi 27 avril à Paris. Objectif : constituer un « front commun » avec « tous les acteurs du mouvement social » face à un gouvernement qui « veut tout détruire ».
Des organisations CGT (fédérations, unions départementales), la France insoumise et des « gilets jaunes » veulent « conforter et faire converger toutes les luttes en cours ». « Nous voulons voir cette date du 27 avril comme un tournant majeur dans les mobilisations en cours depuis des mois et des mois, dans la rue, sur les ronds-points, dans les entreprises », a dit Emmanuel Lépine (CGT chimie). « Il est grand temps de coordonner nos luttes respectives », a-t-il ajouté, affirmant que « le 27 avril n’est pas une fin en soi, mais bien la construction d’un processus de mobilisation qui doit aller crescendo. »
« Une bonne base » pour le 1er-Mai
« C’est un appel à l’union autour d’un message clair, la justice sociale et la meilleure répartition des richesses », a déclaré de son côté Amar Legha (fédération CGT commerces et services). Cette action a aussi le soutien du PCF, du NPA, de la fédération CGT des services publics, de la journaliste Aude Lancelin ou de la « gilet jaune » Priscillia Ludosky
Les organisateurs prévoient une manifestation de Concorde à Nation. « Si on a un 27 avril réussi, ce sera une bonne base de lancement pour le 1er mai », a jugé Cédric Quintin, de l’union départementale CGT Val-de-Marne. Pour Olivier Mateu, de l’union départementale Bouches-du-Rhône, « l’objectif de cette mobilisation ce n’est pas le congrès de la CGT » qui se déroulera en mai, « mais d’être tous ensemble pour aller au combat contre ce gouvernement ».
« Nous n’attendons pas des annonces d’Emmanuel Macron une modification majeure de la politique menée actuellement », a encore dit Emmanuel Lépine. Il a ajouté qu'« une base commune de revendications » a été établie qui prévoit l’augmentation immédiate de 300 euros des salaires, traitements et minimas sociaux, « l’arrêt des cadeaux fiscaux », le rétablissement de l’ISF, la baisse de la TVA sur les produits de première nécessité ou « l’arrêt de la casse de la Sécurité sociale et des systèmes de retraite ». « Ces revendications sont parfaitement réalisables, de manière rapide, leur mise en place ne dépend que de choix politiques », a-t-il affirmé.




