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Borloo en discussion pour devenir président du CA de Huawei France
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L’ancien ministre a reçu une « proposition » pour prendre la tête du Conseil d’administration de Huawei, le géant chinois de l’électronique en pleine tourmente.
Une nomination qui ferait beaucoup parler. Car l'ancien ministre Jean-Louis Borloo a reçu une « proposition" pour prendre la tête du Conseil d'administration de Huawei France et la question sera tranchée lors d'une réunion le 15 juillet, a-t-il déclaré vendredi à l'AFP. « Il n'y a strictement rien de fait », a indiqué M. Borloo, infirmant partiellement une information de Challenges annonçant sa nomination.
« Le conseil d'administration est le 15 juillet et on en débattra à ce moment-là. Mais la question se pose, une proposition m'a été faite », a ajouté l'ex-ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy, en soulignant qu'il a « été pendant deux ans administrateur » de l'équipementier chinois, jusqu'à fin 2018. « Ken Hu (NDLR : le vice-président de Huawei) sera à Paris le 8 et je vais en parler avec lui », a-t-il encore précisé. Huawei France a refusé de confirmer dans l'immédiat.
L'ancien maire de Valenciennes, également ministre de la Ville et de l'Emploi de Jacques Chirac, remplacerait François Quentin, qui a quitté son poste en décembre 2018. M. Borloo est depuis 2015 à la tête de sa fondation Energies pour l'Afrique qui vise à électrifier le continent.
La France n'a « rien de précis à reprocher » à Huawei
Cette éventuellement future collaboration avec le constructeur chinois ne manquerait en tout pas de faire polémique. Car Huawei est actuellement en pleine tourmente, ses équipements étant soupçonnés de permettre à Pékin d'espionner les communications des pays qui les utiliseraient, des accusations que l'entreprise chinoise rejette catégoriquement.
Les États-Unis ont ainsi exclu l'entreprise du déploiement de la 5G sur leur sol et interdit aux administrations l'achat de ses produits et services. Ils tentent depuis de convaincre leurs alliés occidentaux d'en faire autant. Lundi, une responsable du ministère de l'Economie a cependant indiqué que la France n'avait « rien de précis à reprocher » à Huawei.
Mercredi, le Sénat a adopté à main levée, en première lecture, une proposition de loi LREM visant à sécuriser le futur déploiement de la 5G, sans viser un équipementier en particulier.