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Israël entreprend la démolition de maisons palestiniennes à Jérusalem
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Fin juin, les autorités israéliennes avaient informé certains résidents du quartier de Sour Baher de leur intention de démolir leurs habitations, leur donnant 30 jours pour évacuer les lieux.
"Je veux mourir ici." Malgré les protestations des Palestiniens et les critiques de la communauté internationale, les forces israéliennes ont commencé à démolir, lundi 22 juillet, des maisons palestiniennes considérées comme illégales à Jérusalem. Des dizaines de policiers et de militaires ont encerclé au moins quatre immeubles et une pelleteuse a commencé la démolition d'un immeuble de deux étages inachevé. Les journalistes ont été tenus à l'écart et les résidents ont été évacués.
Le 18 juin, les autorités israéliennes avaient informé certains résidents du quartier de Sour Baher de leur intention de démolir leurs habitations, leur donnant 30 jours pour évacuer les lieux. Les immeubles visés se trouvent dans un périmètre de sécurité où la construction est interdite, selon les autorités israéliennes. Ces démolitions constituent le dernier acte en date des dissensions sur l'avenir de Jérusalem, ville où vivent plus de 500 000 Israéliens et 300 000 Palestiniens.
"Des pains d'explosifs" dans les maisons à détruire
"Depuis deux heures du matin, [les militaires] évacuent les habitants de chez eux, par la force, et ont entrepris de disposer des pains d'explosifs dans les maisons qu'ils veulent détruire", a déclaré à Reuters le chef de communauté à Sour Baher. Les travaux sont filmés et photographiés par des militants palestiniens, israéliens et internationaux qui se sont mobilisés pour tenter de stopper les démolitions.
Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies, cette décision concerne 10 bâtiments, dont la plupart sont encore en construction, et environ 350 personnes sont concernées. Les habitants de Sour Baher ont aussi dit craindre qu'une centaine d'autres bâtiments de leur quartier ne soient également menacés dans un avenir proche.




