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Ibis Batignolles: "On est là !"
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https://npa2009.org/actualite/entreprises/ibis-batignolles-est-la
Crédit Photo: NPA
Après la réussite de la fête de quartier du vendredi 20 septembre, organisée par le comité de soutien aux grévistes, ceux-ci ont organisé un nouveau rassemblement le mardi 1er octobre. L’occasion de faire le point sur un bras de fer engagé depuis bientôt trois mois !
La mobilisation dure, et elle est dure. Depuis le début de la grève illimitée le 17 juillet, les grévistes en lutte contre le sous-traitant STN n’ont eu de cesse de tenir le parvis de l’hôtel. Ce mardi, encore une fois, avec à leur côté une trentaine de soutiens, la bonne vingtaine de grévistes – quasi exclusivement des femmes – a su se faire entendre des dirigeants d’Ibis… et de leurs clients ! Slogans enthousiastes, sifflets, maracas bricolés… Tout est bon pour faire savoir que la contestation n’est pas terminée, que le feu est loin de s’éteindre.
Ces derniers jours, des rassemblements de soutien ont eu lieu dans plusieurs villes (Rennes, Nantes...) et un mouvement de boycott est lancé.
Bras de fer contre pourrissement
Pourtant, à l’évidence, la direction de STN n’envisage pas d’ouvrir de négociations avec les grévistes. Grâce à la passivité du groupe Accor, propriétaire de la chaîne d’hôtel, elle joue à l’évidence le pourrissement. Le marché liant STN et Accor doit être renégocié dans quelques semaines, et d’ici là, il se dit que STN ne veut pas chercher de porte de sortie, cherchant à mettre touTEs les grévistes au pied du mur au risque de perdre leur emploi. Qu’importe, ce qu’exigent justement les grévistes, c’est à être embauchéEs directement par l’hôtel.
C’est bien cette « bataille pour la dignité humaine, contre un système d’exploitation capitaliste, raciste et sexiste mis en place par le groupe Accor à l’hôtel Ibis » (dixit le dernier tract de la CGT HPE) qui va continuer.
Manu Bichindaritz