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    Julie Garnier : "La réforme des retraites qu’on nous propose, c’est une vraie boucherie"

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    Lien publiée le 17 décembre 2019

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    Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    Veille de mobilisation, l’unité syndicale et politique est sans doute l’enjeu majeur d’une semaine qui s’annonce décisive. Après la démission du ministre Jean-Paul Delevoye, quelles suites donner à cette mobilisation ? Julie Garnier, oratrice nationale de LFI, est l’invitée de #LaMidinale.

    ET À LIRE...

     Sur la semaine sociale 
    « Le bras de fer doit être gagné. »
    « Aujourd’hui, on voit que les priorités ont changé : c’est toujours l’intérêt financier qui prime et jamais on ne s’interroge sur : “est-ce qu’on pourrait mieux vivre ?”. »
    « La question fondamentale qui est posée, c’est : quelle vie nous voulons ? »
    « C’est une boucherie qu’on est en train de vivre. »

     Sur la réponse du gouvernement 
    « Emmanuel Macron réalise un vrai hold-up démocratique. »
    « Sur son programme, Macron s’était engagé à ne pas augmenter l’âge de la retraite et à ne pas baisser les pensions. »
    « À partir du moment où le calcul se fera sur l’entièreté de la carrière, vous baissez mécaniquement le montant de la retraite. »
    « Les Français, à une large majorité, ont voté contre Marine Le Pen, pas pour Emmanuel Macron. »

     Sur le rapport de force 
    « Il faut que le peuple ait son rôle a joué (…). Le gouvernement aurait du proposer un référendum sur la réforme des retraites. »
    « Je vois chez Emmanuel Macron quelqu’un qui est extrêmement méprisant et qui n’hésite pas à mentir. »
    « Il a du mépris pour toutes ces personnes qui expriment une colère. »
    « Il faut aller le chercher et on doit être très nombreux à aller le chercher. »
    « On est à douze jours et il y a encore sept personnes sur dix qui soutiennent la mobilisation. »

     Sur l’unité politique et syndicale 
    « La société vers laquelle on nous pousse est une société d’individualisme et les gens n’en ont pas envie. Les gens se réunissent dans les ronds-points et les manifestations et ça fait du bien. »
    « Il y a besoin d’un cadre collectif. La lutte ne se porte pas tout seul. »
    « On a besoin d’entendre toutes les voix qui s’expriment et qui vont dans le même sens. »
    « Quand on est ensemble, on n’est pas là pour se vendre soi. »
    « Il nous faut des résistants - pas des postures ni des épouvantails. »

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