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Augmentation du prix du pain de 10 centimes : les plus précaires sont les premiers touchés
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Dans un contexte où les plus précaires pâtissent de l’augmentation des prix des carburants et de l’énergie, d’autres produits de première nécessité tels que la baguette de pain verront leur prix augmenter ces prochaines semaines.
Après des semaines d’augmentation des factures des ménages, c’est désormais la baguette qui augmente un peu partout. Jusqu’à 10 centimes comme c’est déjà le cas en Haut-de-Seine rapporte France-Info. En cause, l’augmentation du prix du blé, matière première, qui a grimpé de 30% en un an, suite à des pénuries et une inflation mondiale.
De plus, les boulangers qui ont des dépenses importantes en gaz et en électricité pour alimenter leurs fours, voient aussi leurs factures d’énergie s’alourdir avec l’inflation.
Alors qu’ « en 20 ans, la baguette a pris 23 centimes » selon Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie pâtisserie française sur FranceInfo, cette hausse fulgurante va peser sur l’alimentation des plus précaires. Ainsi d’après l’Insee, qui relève que les ménages dont les revenus sont inférieurs à 1000€ par mois consacrent en moyenne 7,10€ par jour dans leur alimentation, (contre 18€ pour les foyers les plus aisés), cette augmentation de 10 centimes constituera à elle seule une augmentation de 1,5% de ce budget.
Avec l’augmentation du prix du carburant, de l’énergie et des courses et maintenant celle du pain qui sont des dépenses de première nécessité, la majorité de la population déjà précaire voit sa situation s’aggraver avec l’inflation. Pour beaucoup, il est de plus en plus difficile de vivre dans des conditions décentes alors que les salaires sont toujours au plus bas, et ne suivent pas l’inflation. Le “chèque inflation” unique de 100 euros promis par le gouvernement est donc une insulte dans cette situation, et il est urgent d’imposer une réelle augmentation immédiate des salaires et des aides sociales pour tous, indexés sur la hausse des prix, et financé de la poche du patronat qui se goinfre de profits depuis le début de la crise.