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En Allemagne, des dizaines de milliers de personnes manifestent contre l’extrême droite
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
En Allemagne, des dizaines de milliers de personnes manifestent contre l'extrême droite
Plusieurs organisations appelaient à ces rassemblements à moins d'un mois des élections législatives allemandes.

Des manifestations contre le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD) ont rassemblé samedi 25 janvier des dizaines de milliers de personnes en Allemagne pour appeler à "faire barrage" à cette formation, à un mois des élections législatives. Les rassemblements les plus importants ont eu lieu à Berlin et Cologne, avec respectivement 35 000 et 20 000 manifestants, selon la police, tandis que les organisateurs ont estimé à 100 000 le nombre de personnes dans la capitale allemande.
Devant l'emblématique porte de Brandebourg, les manifestants ont formé la nuit venue "une mer de lumière pour la démocratie", avec leurs téléphones portables, brandissant des lettres formant le mot "Résistance", ont constaté des journalistes de l'AFP. Des milliers de personnes se sont aussi mobilisées à Halle où la codirigeante de l'AfD, Alice Weidel, tenait un meeting au cours duquel est intervenu, via vidéo, le milliardaire américain Elon Musk.
Die 100.000 Menschen, die heute in Berlin für unsere Demokratie demonstrieren, wollen nicht, dass Herr Merz mit der AfD gemeinsame Sache macht. #lichtermeer
Plusieurs organisations appelaient à ces rassemblements dans une soixantaine de villes, à quatre semaines des élections du 23 février pour renouveler le Parlement allemand. L'AfD pointe en deuxième position des intentions de vote dans les sondages avec 20%, derrière les conservateurs de la CDU/CSU avec environ 30%.
"Les nazis dehors"
Sous le slogan "nous faisons barrage !", les protestataires ont défilé pacifiquement, portant des pancartes où figuraient "Les nazis dehors" ou "l'AfD n'est pas une alternative" en référence au parti d'extrême droite "Alternative pour l'Allemagne".
Des slogans visaient aussi le chef du Parti conservateur CDU Friedrich Merz, favori pour la chancellerie. Tenant d'un durcissement radical de la politique migratoire, certains craignent qu'il soit tenté de rompre "le cordon sanitaire" des partis politiques allemands refusant toute alliance avec l'AfD.




