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Des manifestants dénoncent le résultat du scrutin au Honduras
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
TEGUCIGALPA (Reuters) - Des milliers de manifestants, emmenés par la candidate malheureuse de la gauche à la présidentielle, ont défilé dimanche dans les rues de la capitale du Honduras, Tegucigalpa, pour dénoncer le résultat du scrutin, en accusant le pouvoir de fraudes.
Le candidat du Parti national au pouvoir, Juan Hernandez, qui est président du parlement, a recueilli 36,8% lors de la présidentielle du 24 novembre, selon le tribunal électoral hondurien.
Xiomara Castro, qui défendait les couleurs du Parti Liberté et Refondation (LIBRE, coalition d'hommes politiques de gauche, de syndicats et d'organisation indigènes), s'est classée deuxième avec 28,79%.
Mais Xiomara Castro comme son mari, l'ancien président Manuel Zelaya qui fut chassé du pouvoir par un coup de force en 2009, refusent de reconnaître les résultats et exigent un nouveau décompte.
"Si l'on recompte, LIBRE remporte le scrutin", a déclaré Manuel Zelaya lors de la manifestation de dimanche, la première à laquelle avait appelé la coalition de gauche depuis l'élection. "Nous ne voulons pas de fraude au Honduras. Nous ne voulons pas d'un gouvernement issu de la fraude, de la tromperie".
S'exprimant dimanche soir à la télévision hondurienne, le chef du tribunal électoral, David Matamoros, a déclaré que son organisme avait discuté avec des représentants de LIBRE et leur avait déclaré qu'il était disposé à lui permettre d'examiner les données électorales.
La manifestation de dimanche s'est déroulée sans incident. LIBRE a annoncé que ses partisans allaient continuer leurs manifestations et Manuel Zelaya a déclaré que la coalition comptait saisir la Cour suprême pour qu'elle annule le résultat de l'élection.
Castro et son mari sont apparus dans le cortège des manifestants aux côtés du cercueil d'un partisan de LIBRE tué par balles par quatre inconnus samedi soir dans la capitale. Zelaya a parlé d'un assassinat politique commis par des "escadrons de la mort".