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Les Français détachés par rapport au conflit à Gaza
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Monde) Les trois quarts des Français (74 %) n'expriment de sympathie pour aucun des deux camps en présence sur la bande Gaza, 17 % se déclarant en faveur des Palestiniens et 9 % pour Israël, selon un sondage IFOP pour Sud Ouestdimanche.
Ces résultats, stables par rapport à ceux enregistrés par le même institut deux semaines après le lancement de l'opération « Bordure protectrice » par Israël, confirment le détachement des Français à l'égard des protagonistes du conflit.
En dépit de l'importante couverture médiatique de l'affrontement, les Français n'ont pas pris parti nettement pour l'un ou l'autre des belligérants ces dernières années. En mai 2008, lors de l'opération « Plomb durci », une enquête indiquait que 19 % des Français éprouvaient plutôt de la sympathie vis-à-vis des Palestiniens et 14 % pour Israël quand 67 % refusaient de choisir un camp, souligne l'IFOP.
Ce nouveau sondage été réalisé du 6 au 8 août auprès d'un échantillon de 1 013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
COMBATS MOINS INTENSES À GAZA
A Gaza, les combats semblaient baisser en intensité samedi 8 août au matin, après une journée marquée par un déluge de roquettes et de frappes israéliennes ayant fait au moins cinq morts, dont un enfant de 10 ans.
Dans la soirée, les Etats-Unis ont dit espérer qu'un cessez-le-feu intervienne « dans les prochaines heures », tout en regrettant que le Hamas « continue àformuler des exigences maximalistes ».
Après trois jours de trêve et de négociations indirectes au Caire, la bande de Gaza est redevenue vendredi une base de lancement de roquettes palestiniennes et cible de frappes israéliennes, un mois après le début d'hostilités qui ont fait plus de 1 950 morts, en très grande majorité des civils palestiniens.
Le Hamas réclame notamment la fin du blocus de Gaza qui asphyxie l'enclave depuis huit ans et la libération de prisonniers. Le porte-parole des brigades Al-Qassam, Abou Obaida, avait ainsi présenté la possibilité de construire un port sur la Méditerranée comme la première des exigences de son organisation. Il réclamait aussi « la fin véritable de l'agression [israélienne] et une vraie levée du siège ».




