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Schäuble: pas un sou pour la Grèce avant la mise en oeuvre des réformes
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
BERLIN, 25 fév 2015 (AFP)
Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a assuré mercredi qu'"aucun euro" d'aide ne serait versé à la Grèce tant qu'elle n'aura pas rempli tous ses engagements prévus avec ses partenaires européens dans le cadre du programme d'aide.
"Aucun euro ne sera versé avant" que la Grèce n'ait rempli ses engagements, a promis le ministre dans un entretien à la radio régionale publique SWR.
"S'ils remplissent (leurs engagements), alors ils pourront recevoir les versements encore restants", a-t-il insisté. "Et s'ils ne les remplissent pas, il n'y aura pas de versement".
La question qui se pose maintenant, c'est de savoir "si on peut croire les assurances du gouvernement grec ou pas", a-t-il insisté, assurant "comprendre (...) les nombreux doutes qui s'expriment en Allemagne".
"Nous (les pays de la zone euro, ndlr) n'avons en aucun cas convenu de nouveaux versements mais nous avons donné plus de temps (à la Grèce) pour mettre en oeuvre" les réformes sur lesquelles elle s'est engagée, a souligné M. Schäuble.
Les ministres des Finances de la zone euro ont donné leur feu vert mardi à la prolongation de quatre mois du programme d'aide qui maintient la Grèce à flot depuis 2012. En échange, le gouvernement de la gauche radicale d'Alexis Tsipras s'est notamment engagé à lutter contre l'évasion fiscale et à renforcer les moyens pour collecter l'impôt.
Cette décision de l'Eurogroupe n'a "pas été facile" à prendre, a souligné le ministre conservateur, qui incarne la ligne dure en Europe. "Elle n'a pas été non plus facile pour le gouvernement grec car le gouvernement grec a raconté des choses complètement différentes à sa population durant la campagne électorale (pour les élections du 25 janvier) et par la suite", a-t-il ajouté.
Les députés du Bundestag doivent se prononcer vendredi sur la prolongation du programme d'aide alors que des réticences s'expriment au sein du camp conservateur de la chancelière Angela Merkel.
En outre, les Allemands sont en majorité opposé à cette extension de l'aide à Athènes. Seuls 21% d'entre eux se prononcent pour un feu vert des parlementaires, selon un sondage de l'institut Insa pour le quotidien Bild, révélé mercredi.
La Grèce, si elle fait face à ses engagements, verra le déblocage de l'argent restant dans le programme signé en 2012, à savoir 1,8 milliard d'euros du Fonds de soutien de la zone euro (FESF) et 1,8 milliard provenant des gains réalisés par la BCE sur les obligations grecques en sa possession.




