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Grèce: des députés pro-gouvernement bloquent le vote d'une mesure réclamée par UE-FMI
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Des députés socialistes et de droite des trois partis soutenant le gouvernement grec de coalition ont bloqué dans la nuit de mardi à mercredi l'adoption d'une mesure libéralisant les horaires des pharmacies, réclamée par les créanciers UE-FMI, a indiqué le parlement.
Une source gouvernementale citée par l'agence de presse Ana (semi-officielle) a imputé ce blocage à "la forte influence des corporations sur les députés", dans un système politique où le clientélisme prévaut, et annoncé que la disposition retoquée sera à nouveau soumise au vote la semaine prochaine.
Cette fronde intervient alors que la zone euro réclame pour débloquer un nouveau prêt de 130 milliards d'euros au pays surendetté un engagement écrit sur un nouveau tour de vis de rigueur et de dérèglementation, des trois partis soutenant l'exécutif de coalition désigné en novembre dernier après l'éviction du Premier ministre socialiste Georges Papandréou.
Combattu depuis des mois par l'Union des pharmaciens, l'article 29 qui a été rejeté faisait partie d'un projet de loi du ministère des Finances reprenant pour l'essentiel des dispositions déjà votées à la demande des créanciers du pays, mais restées lettre morte, en particulier sur l'ouverture à la concurrence de près de 200 professions et la fusion d'organismes publics.
Le texte avait été adopté dans son principe la semaine dernière mais le parti communiste avait réclamé un scrutin public sur les onze articles les plus controversés.
Outre l'union sacrée de députés socialistes, conservateurs et d'extrême-droite contre l'article 29, le vote a aussi été marqué par la fronde d'une quarantaine de parlementaires de la majorité socialiste contre d'autres dispositions dont celle prévoyant des coupes dans les pensions des pré-retraités.
Le quotidien de centre-gauche Ta Néa déplorait un "vote-poison pour le gouvernement", en pleine négociation avec les créanciers privés et publics du pays sur le plan de désendettement adopté fin octobre par la zone euro, le libéral Kathimérini déplorant pour sa part un "sérieux coup" porté à l'exécutif.




