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Grèce mercredi 12h: les créanciers ont refusé les propositions grecques
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Une réunion entre les dirigeants de la Commission européenne, de l'Eurogroupe, du FMI, du Mécanisme européen de stabilité, de la BCE et avec le Premier ministre grec Alexi Tsipras doit avoir lieu mercredi à 13 heures. Les retraites, la TVA et la fiscalité des entreprises restent des points de friction.
Les créanciers de la Grèce ont rejeté les propositions d'Athènes, a annoncé ce matin à son gouvernement le Premier ministre grec Alexis Tsipras, juste avant son départ pour Bruxelles, d'après l'agence Bloomberg qui cite, anonymement, un membre du gouvernement.
D'après une source gouvernementale anonyme citée par l'AFP, a déploré "l'insistance de certaines institutions qui n'acceptent pas des mesures compensatoires". Il visait en particulier le Fonds monétaire international qui, selon Athènes, n'accepte pas certaines des propositions grecques, a indiqué à l'AFP une autre source gouvernementale.
Réunion d'urgence
De fait, une réunion d'urgence doit avoir lieu ce mercredi 24 juin, alors que la Grèce et ses créanciers sont toujours en désaccord sur certains points, ont déclaré des responsables de l'Union européenne. Les dirigeants de la Commission européenne, de l'Eurogroupe, du Fonds monétaire international (FMI), du Mécanisme européen de stabilité (MES) et de la Banque centrale européenne (BCE) doivent se réunir à midi (10h00 GMT) à Bruxelles pour discuter de la Grèce. Ils seront rejoints une heure plus tard par le Premier ministre grec Alexis Tsipras.
"Les positions avant cette rencontre avec Tsipras restent éloignées sur de nombreux points", a dit un responsable européen informé du contenu des discussions, en citant les retraites, la TVA et la fiscalité des entreprises.
Le plan d'austérité proposé est lourd, mais pas assez?
Désormais révélé en détail par le quotidien grec Kathimerini, le plan grec a pourtant la main lourde: les mesures prévues s'élèvent sur deux ans à 8 milliards d'euros, soit 4,4 % du PIB. Le relèvement de la TVA pour 2,1 milliards d'euros, des cotisations salariales pour 1,9 milliard d'euros et des taxes sur les entreprises de 2,2 milliards d'euros conduiront inévitablement à un affaiblissement de la demande dans un pays où elle demeure très faible.
Certains économistes grecs estiment que l'effet négatif sur la croissance pourrait être de deux points de PIB et une rumeur de marché évoquait mardi 23 juin une étude de la Deutsche Bank qui évoquait un effet allant jusqu'à 3 points de PIB. Du reste, mardi, dans les rues d'Athènes, un seul mot semblait sur toutes les lèvres, celui « d'austérité », à laquelle le gouvernement se serait rallié.