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M. Tsipras écarte du gouvernement les "anti-plan d’aide"
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Monde) Le premier ministre grec a reconstruit une équipe qui sera chargée d'appliquer les mesures exigées par les créanciers
En tout, une dizaine de personnes changent de portefeuille ou entrent pour la première fois au gouvernement. M. Tsipras a choisi de puiser dans les rangs de sa famille politique une équipe en mesure de faire appliquer les mesures exigées par les créanciers, ignorant les pressions européennes pour qu'il mette en place une nouvelle coalition avec des partis de l'opposition et notamment avec le parti centriste To Potami. Pour l'instant, M. Tsipras reste, comme il l'a affirmé le 13 juillet dans un entretien télévisé, " le capitaine du navire ".
Le ministre du redressement productif, Panagiotis Lafazanis, chef de file des 39 députés frondeurs qui ont refusé de voter l'accord au Parlement, est le premier à céder la place. Pour le remplacer, Panagiotis Skourletis, un proche de M. Tsipras, laisse son portefeuille de ministre du travail à Georges Katrougalos, qui quitte le poste de ministre délégué à la réforme administrative. Dans ce jeu de chaises musicales, quelques nouvelles personnalités entrent au gouvernement. La ministre déléguée au ministre des finances, Nadia Valavanis, qui a démissionné jeudi, est remplacée par Triphon Alexiadis. Jusqu'ici président du Syndicat des agents des impôts, ce dernier sera en charge de la recette fiscale. Un poste clé, alors que le premier ministre vient de réaffirmer son intention de s'attaquer à la fraude et à l'évasion fiscales.
Le signal du rassemblement
Euclide Tsakalotos est confirmé au ministère des finances et c'est l'historienne Sia Agnagnostopoulou qui le remplacera au poste de ministre délégué aux affaires étrangères qu'il avait abandonné au lendemain du référendum du 5 juillet, pour prendre la place de Yanis Varoufakis aux finances.
Dimitris Vitsas, longtemps secrétaire général de Syriza, est nommé ministre délégué à la défense. En plaçant dans son équipe gouvernementale l'un des rouages principaux du parti Syriza, M. Tsipras envoie le signal du rassemblement, alors que le parti est toujours au bord de l'implosion.
Enfin en désignant Pavlos Haikalis, un ancien comique passé à la politique dans les rangs des Grecs Indépendants (ANEL), M. Tsipras récompense la fidélité de son partenaire de coalition, qui l'a soutenu d'un seul bloc lors du vote au Parlement.
Par ailleurs, un décret législatif devait être prononcé samedi pour annoncer la réouverture des banques à partir de lundi 20 juillet. Sans que soit pour autant levé le contrôle de capitaux, soit 60 euros par jour et par personne que les Grecs pourront désormais retirer en une fois par semaine au guichet de leur banque.
Reste maintenant à Athènes et ses partenaires à se mettre d'accord dans les semaines qui viennent – idéalement avant le 20 août, prochaine grosse échéance financière – sur les modalités du plan d'aide, ce qui ne sera pas une mince affaire.