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Congrès de Syriza en septembre
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Alors qu'une majorité du comité central de Syriza avait condamné l'accord, Tsipras a donc renversé la tendance en imposant sa date de congrès. D'ici septembre, il va pouvoir faire rentrer dans Syriza des supporters de sa ligne de capitulation pour obtenir une majorité pour approuver l'accord scélérat avec la Troîka. La gauche de Syriza s'est divisée et affaiblie, puisque 17 membres du comité central du courant maoïste ont démissionné.
Le comité central du parti de gauche radicale Syriza a voté jeudi soir en faveur de la tenue d'un congrès extraordinaire en septembre, une proposition du Premier ministre Alexis Tsipras afin de définir une position commune vis-à-vis de l'accord avec les créanciers du pays, a-t-on appris auprès du parti.
Alexis Tsipras, également dirigeant de Syriza, a fait cette proposition à l'ouverture de la réunion du comité central du parti, dont certains membres s'étaient opposés à l'accord que le gouvernement avait signé le 13 juillet avec ses créanciers sur un nouveau prêt à la Grèce, accompagné de mesures de rigueur.
"Une majorité a voté en faveur de la tenue d'un congrès extraordinaire en septembre", a indiqué à l'AFP, Costas Zachariades, membre du comité central, composé de 201 membres.
Plus d'une dizaine de membres du comité central ont démissionné
La date exacte du congrès n'a pas été pour le moment précisée.
Après plus de douze heures de réunion, le comité central du Syriza a accepté la proposition du Premier ministre en rejetant celle de "la Plateforme gauche", un courant influent de gauche dure au sein du Syriza ainsi que celle d'autres groupes dissidents, qui s'opposent à l'accord avec les créanciers. Les dissidents souhaitaient un congrès le plus tôt possible avant même la finalisation de l'accord avec les créanciers.
Plus d'une dizaine de membres du comité central ont démissionné à l'issue de la réunion du comité central, selon Costas Zachariades.
Les 15 et 22 juillet, une trentaine des 149 députés de Syriza ont voté contre les premières réformes demandées par les créanciers et le Premier ministre ne dispose plus de la majorité de 151 députés (sur 300) pour appliquer le nouvel accord sans le soutien de trois partis d'opposition.
La décision du comité central du Syriza intervient en pleine négociation entre le gouvernement grec et les hauts représentants des créanciers, UE, BCE et FMI, qui sont arrivés cette semaine à Athènes pour finaliser le nouveau prêt international au pays.
Cet accord doit être mis sur pied d'ici le 20 août.