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Tsipras s’explique sur le "plan B" révélé par Yanis Varoufakis
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(La Tribune) Le Premier ministre grec a confirmé avoir autorisé le ministre des Finances grec Yanis Varoufakis à préparer un plan d'urgence au cas où le pays aurait été forcé de quitter la zone euro. Ce dernier aurait envisagé de pirater ses propres serveurs afin de créer un système bancaire parallèle
L'opposition grecque pro-européenne réclamait à Alexis Tsipras qu'il fasse toute la lumière sur les préparations d'un éventuel "Grexit" révélées par son ancien ministre des Finances, Yanis Varoufakis. C'est en partie chose faite. Devant la Vouli (le Parlement grec), vendredi 31 juillet, le Premier ministre a confirmé avoir confié à son numéro 2 les rênes pour élaborer un plan B.
"Bien sûr, j'ai personnellement demandé à Yanis Varoufakis de mettre en place une équipe pour gérer une situation d'urgence", a-t-il expliqué, cité par le Wall Street Journal.
Une obligation, selon le premier ministre, en raison de la menace d'une sortie de la Grèce de la zone euro émanant de certains cercles européens. Cette hypothèse s'est fait plus de plus en plus pressante au fur à mesure des échecs lors des négociations jusqu'à l'apogée : l'Allemagne avait envisagé un Grexit temporaire de 5 ans au début du mois de juillet.
Alexis Tsipras a expliqué devant le Parlement grec ne jamais avoir souhaité en arriver là:
"Nous n'avions pas de plan pour faire sortir le pays de la zone euro, mais nous avions des plans d'urgence [...] Puisque nos partenaires et créanciers ont préparé un plan pour un Grexit, ne devions-nous pas, en tant que gouvernement, préparer notre défense ?"
En réaction à l"incroyable plan B de Yanis Varoufakis
Alexis Tsipras a ainsi réagi à l'annonce de Yanis Varoufakis, le week-end dernier. L'ancien ministre grec des Finances aurait envisagé de pirater ses propres serveurs afin de créer un système bancaire parallèle. Un plan qui aurait été ficelé avant même l'élection qui a porté Syriza au pouvoir.
"Le Premier ministre, avant qu'il devienne Premier ministre, avant que nous (Syriza) ne gagnions l'élection en janvier, m'avait donné le feu vert pour imaginer un plan B", avait assuré Yanis Varoufakis.




