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Varoufakis conseille à la gauche portugaise de désobéir à l’UE
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L'ancien ministre des Finances grec estime que la gauche portugaise ne doit pas s'engager à respecter des règles européennes, dans le cas où elle parviendrait à former un gouvernement alternatif de gauche.
L'ancien ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, a suggéré samedi au chef du Parti socialiste portugais Antonio Costa de ne pas "s'engager à respecter les règles européennes" s'il parvenait à former un gouvernement "alternatif" de gauche. "Le PS ne doit pas s'engager à respecter des règles qui sont fondamentalement irrationnelles", a-t-il estimé devant la presse à l'issue d'une conférence sur la "démocratisation de la zone euro" à l'université de Coimbra (nord).
La coalition sortante de droite a remporté les élections législatives du 4 octobre avec 38,6% des voix, mais a perdu sa majorité absolue et ne pourra gouverner qu'avec le soutien du PS, principale force d'opposition. Or, les négociations entre la droite et la gauche sont dans l'impasse, et Antonio Costa tente de conclure un accord de gouvernement avec le Parti communiste et le Bloc de gauche, formation apparentée à Syriza, l'ancien parti de Yanis Varoufakis.
Violer les règles d'un commun accord
"Il y a un débat au sein du PS sur une alliance avec les partis à sa gauche, du moment où les engagements européens sont respectés. Le problème est là, ces engagements ne peuvent pas être tenus", ni par le Portugal, ni par la Grèce, ni par l'Allemagne, a assuré Yanis Varoufakis. Pour assurer l'avenir de la zone euro, "nous devons violer ces règles d'un commun accord et créer de nouvelles règles nationales", a-t-il lancé.
Soucieux de rassurer les investisseurs, Antonio Costa avait affirmé mardi à l'AFP qu'un éventuel gouvernement de gauche "respecterait les engagements internationaux" du Portugal et n'allait pas "ouvrir une crise politique en zone euro". Hostile au troisième plan d'aide internationale de la Grèce, Yanis Varoufakis avait quitté le gouvernement d'Alexis Tsipras en juillet, puis rompu avec Syriza, vainqueur des législatives en septembre.