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Grèce: des divergences subsistent avec les créanciers
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(afp) La Grèce a peu de chances d'obtenir lundi à Bruxelles le feu vert nécessaire au déboursement de 2 milliards d'euros promis dans le cadre de son troisième plan d'aide financier, à cause des divergences subsistant avec ses créanciers, selon plusieurs sources européennes.
«Je ne crois pas qu'il y aura un feu vert lundi» pour le déboursement de cette tranche d'aide qui dépend de la mise en oeuvre de certaines réformes économiques souvent douloureuses pour Athènes, a confié vendredi une source européenne proche des discussions.
Les ministres des Finances de la zone euro se réunissent lundi après-midi à Bruxelles pour leur réunion mensuelle où la Grèce risque d'occuper les débats. L'idée était encore en début de semaine que cette réunion débouche sur un accord permettant le déboursement d'une tranche de deux milliards d'euros, qui aurait déjà dû être versée en octobre.
«Nous considérons l'Eurogroupe de lundi comme une opportunité de faire le point sur les avancées», s'est contenté de dire vendredi Annika Breidthardt, la porte-parole du commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici.
En visite en Grèce, M. Moscovici s'était montré mardi bien plus confiant. «Dans un esprit de compromis, je pense que nous allons trouver un compromis d'ici à la fin de la semaine afin que l'Eurogroupe du 9 novembre soit un succès.»
«Le travail (entre Athènes et ses créanciers) continue, tant sur le plan technique que politique. Des progrès sont faits chaque jour», a souligné vendredi la porte-parole. «Les institutions créancières sont en train de finaliser leur évaluation et seulement après, ce sera au tour des Etats membres de prendre une décision», a-t-elle ajouté.
Les divergences entre Athènes et ses créanciers portent notamment sur les saisies de résidences principales, ainsi que sur les modalités de règlement des arriérés fiscaux et des retards dans l'acquittement des cotisations sociales.
Les créanciers réclament des mesures pour faciliter les saisies immobilières des résidences principales, alors qu'Athènes insiste pour maintenir les dispositions permettant d'en protéger la majorité des ménages endettés.




