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La Grèce "accepte" finalement la participation du FMI au nouveau plan
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Après quelques semaines d’hésitation, le rôle du fonds monétaire international (FMI) dans le nouveau plein d’aide à la Grèce est bel et bien accepté par Athènes. Le ministre grec des finances, Euclide Tsakalotos, « m’a confirmé que le gouvernement grec accepte la nécessité que le FMI fasse partie du processus », a déclaré le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, avant une réunion des ministres des finances des 19 pays de la zone euro à Bruxelles. M. Dijsselbloem, qui a rencontré M. Tsakalotos mardi, a ajouté :
« Il était absolument clair pour lui que cela faisait partie de l’accord cet été (…). C’est très important pour beaucoup de pays. Il accepte complètement cela. »
Le 7 décembre, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, avait pourtant martelé que la participation du fonds au nouveau plan d’aide n’était, selon lui, « pas nécessaire ».
La relation entre Athènes et le FMI est ambivalente. L’institution mondiale plaide pour un nouvel allégement de la dette publique grecque détenue par les créanciers – allégement également souhaité par M. Tsipras mais dont certains Européens, en particulier l’Allemagne, ne veulent pas entendre parler. Mais le FMI incarne aussi une ligne dure et exige de la Grèce la mise en œuvre de réformes drastiques, en échange du nouveau prêt de 86 milliards d’euros sur trois ans.
Une évaluation des réformes mises en œuvre à partir du 18 janvier
M. Tsakalotos a entamé vendredi dernier une tournée de six jours en Europe pour évoquer avec ses pairs la nécessité d’entamer des discussions sur un allégement de la dette grecque.
Il a au total rencontré six de ses homologues à Rome, Lisbonne, Paris, Helsinki, Amsterdam et Berlin. « Partout où je suis allé, j’ai trouvé une écoute sympathique et des gens qui cherchaient des solutions et pas des problèmes », s’est-il félicité à son arrivée à la réunion de Bruxelles.
La Grèce a accepté en juillet un troisième plan d’aide internationale en cinq ans, d’un montant de 86 milliards d’euros, et s’est engagée en contrepartie à lancer de nombreuses réformes économiques et sociales. Les représentants des créanciers – Banque centrale européenne (BCE), Commission européenne, Mécanisme européen de stabilité, FMI – doivent revenir à Athènes à partir du 18 janvier pour mener une première évaluation des progrès accomplis en six mois. En fonction du résultat, l’institution choisira de maintenir, ou non, sa contribution financière.




