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Rennes: des étudiants bloquent la rocade et interrompent le métro
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
RENNES, 29 mars 2016 (AFP) - Une centaine d'étudiants ont bloqué pendant 45 minutes mardi matin la rocade de Rennespour réclamer le retrait du projet de loi réformant le code du travail, tandis qu'en fin de matinée, la ligne de métro rennaise était interrompue suite à des jets de chaises sur les voies.
Sur la rocade, les manifestants, la plupart issus de l'université Rennes 2, ont envahi deux voies vers 10H45, créant des bouchons et des "tensions avec des automobilistes", a indiqué la préfecture d'Ille-et-Vilaine.
Des "ralentissements brutaux ont entraîné des accidents matériels", selon la même source, le préfet "dénonçant les risques inconsidérés" liés à cette action.
Les manifestants ont assuré ce blocage en mettant le feu à une barricade constituée de poubelles.
Ils ont ensuite défilé sur une voie avant de quitter ce boulevard périphérique "sur la pression des forces de l'ordre" et de rejoindre l'université, a souligné la préfecture, selon laquelle aucune interpellation n'a eu lieu.
Par ailleurs, des chaises ont été lancées mardi matin sur les voies du métro rennais, à proximité de l'université, a indiqué la régie des transports rennais.
Une rame les a heurtées, provoquant un arrêt d'urgence et l'interruption de la circulation des métros, vers 11H40.
"On craint des dégâts importants sur la voie et la rame", a indiqué à l'AFP une responsable de Keolis, la société gérant les transports collectifs rennais, qui a mis en place des bus de substitution.
Une rame de métro a été bloquée dans un tunnel, mais les passagers ont pu être évacués et regagner une station, sans incident.
Il y a une semaine, toujours pour protester contre la loi travail, plusieurs centaines d'étudiants et de lycéens rennais avaient envahi les voies de chemin de fer, la SNCF interrompant le trafic des trains pendant plusieurs heures.
Cette action intervenait quelques jours après un premier envahissement des voies, en gare de Rennes, par quelques centaines d'étudiants, le 17 mars lors d'une journée d'action contre cette loi.




