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Sabotage des bureaucraties syndicales qui appellent à une journée d’action... le 28 avril !
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Les Echos) Les syndicats restent mobilisés contre le projet de loi travail. Avant même la journée d’action du 9 avril, sept d’entre elles appellent à la mobilisation pour le 28 avril prochain.
Les organisations de représentants de salariés, d’étudiant et de lycéen sont bien décidées à maintenir la pression sur le gouvernement. Sept d’entre elles viennent d’appeler en effet à une nouvelle journée d’action le 28 avril dans le but de réclamer le retrait de la loi travail. à l’issue d’une intersyndicale qui s’est tenue dans la soirée.
Dans un communiqué commun, publié à l’issue d’une réunion intersyndicale, les organisations de salariés CGT, FO, FSU, Solidaires, d’étudiants Unef et de lycéens UNL et Fidl « réaffirment fermement leurs revendications de retrait de ce projet de régression sociale » et appellent à « une nouvelle journée de grève interprofessionnelle et de manifestations le 28 avril », après celle déjà prévue ce samedi.
« Face à l’entêtement du gouvernement à maintenir son projet, la détermination reste intacte et soutenue massivement par l’opinion publique », expliquent-elles. Et d’ajouter que « grâce aux mobilisations, le gouvernement a reçu les organisations de jeunesse . Il doit maintenant répondre à leurs exigences. » Elles promettent aussi d’être « vigilantes aux annonces qui seront faites par le Premier ministre la semaine prochaine ».
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COMMUNIQUE COMMUN
CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL
Les mobilisations des salarié-es, des étudiant-es et des lycéen-nes contre le projet de loi travail ne faiblissent pas.
Face à l’entêtement du gouvernement à maintenir son projet, la détermination reste intacte et soutenue massivement par l’opinion publique.
Grâce aux mobilisations, le gouvernement a reçu les organisations de jeunesse. Il doit maintenant répondre à leurs exigences. Les organisations syndicales seront vigilantes aux annonces qui seront faites par le Premier ministre la semaine prochaine.
Dans le même temps, elles réaffirment fermement leurs revendications de retrait de ce projet de régression sociale et la nécessité d’obtenir de nouveaux droits.
Ce projet est irrespectueux des droits, conditions de travail et de vie des générations actuelles et à venir. La flexibilité et la précarité n’ont jamais été facteur de progrès et d’emploi.
La mobilisation du samedi 9 avril doit unifier toutes les catégories sociales et professionnelles, toutes celles et tous ceux qui luttent pour le retrait de ce projet de loi et exigent des mesures de progrès social. Le gouvernement doit répondre !
Déterminées et conscientes de leurs responsabilités, les organisations syndicales appellent à une nouvelle journée de grève interprofessionnelle et de manifestations le 28 avril 2016.
D’ici là, elles appellent à multiplier les initiatives pour faire entendre leurs revendications, préparer activement cette journée de grève et mobilisation par des rassemblements, interpellations de parlementaires, des manifestations et actions initiées au niveau local.
Paris, le 6 avril 2016