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Brèves d’économie
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Économie française
L'Insee a revu à la baisse la croissance du 2ème trimestre (http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=28&date=20160923), désormais estimée à -0,1% ; la consommation des ménages a baissé de 0,1% et l'investissement des entreprises de 0,4%. Le taux de marge baisse de 0,4 point (faiblesse des gains de productivité, hausse du prix du pétrole) après plusieurs trimestres de hausse. La croissance du troisième trimestre est prévue à 0,3% par la Banque de France.
Le gouvernement maintient son anticipation de croissance de 1,5% en 2016 et 2017, avec une hausse de l'investissement des entreprises de 3,5% en 2017. Le « consensus » des économistes bourgeois (Consensus Forecast) prévoit désormais une croissance de 1,4% en 2016 et 1,2% en 2017.
Économie allemande
L'économie allemande ralentit nettement au second semestre (après une croissance de 0,7% au 1er trimestre et 0,4% au 2ème trimestre), avec une dégradation de sa compétitivité lié à la faiblesse des gains de productivité par rapport aux salaires, ce qui détériore le taux de profit des entreprises
Économie chinoise
Pour la première fois, les investissements directes de la Chine à l'étranger (en hausse de 18%), 145,7 milliards de dollars ont dépassé les investissements directs étrangers (IDE) en Chine (135,6 milliards de dollars) en 2015. Les IDE de la Chine vers l'UE, en hausse de 44% par rapport à l'an dernier, sont deux fois plus importantes que les IDE de l'UE en Chine.
La Chine est le deuxième investisseur à l'étranger après les USA.
La Chine privilégie désormais de plus en plus les IDE, plutôt que l'achat d'obligations émises par des États étrangers.
En outre, la Chine devient de moins en moins attractive pour les étrangers, en raison de la hausse des salaires. Le poids des entreprises étrangères dans l'économie chinoise tend désormais à reculer.
Économie des USA
La Fed a décidé de laisser ses taux d'intérêt inchangés. Autrement dit, une majorité des membres du comité monétaire de la Fed ont décidé de continuer à abreuver de liquidités les marchés à bas taux, et donc à alimenter la bulle financière. A juste titre, ils ont conscience qu'une hausse des taux pourraient être le déclencheur d'une nouvelle grosse récession, et donc ils préfèrent retarder l'échéance... au moins jusqu'après l'élection américaine de novembre (la prochaine réunion du comité monétaire a lieu les 13 et 14 décembre). La Fed vote Clinton et fait tout pour favoriser son élection. Au prix de provoquer une récession encore plus importante plus tard et de n'avoir alors plus aucun levier d'action pour y faire face.




