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Grande Bretagne : fonctionnaires en grève
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les syndicats espéraient mobiliser jusqu'à 400.000 personnes, sans atteindre toutefois l'ampleur de la grève de novembre qui avait rassemblé près de deux millions de mécontents, d'après leurs estimations.
Le principe de la réforme, qui prévoit notamment de repousser l'âge de départ à la retraite dans le secteur public de 60 à 67 ans, et d'augmenter les cotisations, a été réaffirmé mercredi par le gouvernement qui assure que le système actuel n'est pas viable.
"Il est très décevant qu'une poignée de syndicats s'obstinent à lancer des grèves inutiles qui ne serviront à personne", a-t-il déploré dans un communiqué. "Les négociations sur les retraites ne seront pas rouvertes et la grève ne permettra pas d'obtenir quoi que ce soit de plus", a-t-il ajouté.
Des fonctionnaires, des maîtres de conférence, des policiers, des gardiens de prison, des salariés du secteur de la santé et du ministère de la Défense devraient se joindre au mouvement, ainsi que ceux de l'Immigration, faisant craindre des files d'attente dans les aéroports, notamment à Heathrow.
Des perceptions, des collèges et des musées devraient également être affectés.
Des piquets de grève sont prévus devant les palais de justice, des centres pour l'emploi, le Parlement et d'autres bâtiments officiels.
Quelque 20.000 membres des forces de l'ordre devraient également descendre dans la rue à Londres à la mi-journée pour protester contre les réductions budgétaires subies par la police, dans le cadre de la cure d'austérité imposée au pays par le gouvernement.
Après des mois de négociations, la plupart des syndicats de la fonction publique restent opposés à la réforme.
"La colère des salariés a été attisée par la ligne dure suivie par le gouvernement qui veut absolument que les salariés du public travaillent plus longtemps, cotisent plus et touchent moins quand ils seront enfin à la retraite", a souligné Gail Cartmail, un responsable du syndicat Unite.
Le gouvernement "s'attaque aux retraites pour réduire le déficit, dont est responsable une élite cupide à la City", a-t-il ajouté, mais les "plans de rigueur de George Osborne", le ministre des Finances, "commencent à écoeurer tout le monde".




