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"Un tel accord n'est possible que s'il concerne l'ensemble des forces impliquées", a écrit dans la nuit le PG dans un communiqué : "Or ce dimanche après-midi a eu une lieu une réunion dont le Parti de gauche a été exclu malgré nos demandes réitérées d'engager ces discussions de façon transparente et respectueuse de chacun".
Contacté par l'AFP, Eric Coquerel, chargé des élections au PG qui souhaite un "bouclier anti-droites" plus large avec un début de proportionnelle dans l'attribution des candidatures, a déploré le fait que cette réunion "ait attribué au PG des circonscriptions sans qu'on ait donné notre accord", "ce ne sont pas des façons de faire".
Pour lui, ces discussions "n'engagent pas le PG, donc pas le Front de gauche" (réunissant PG et PCF) qui n'a "pas à faire un accord au rabais".
Les discussions promettent d'être animées avec le PCF en fin de matinée lors de la coordination nationale hebdomadaire du FG.
David Cormand, chargé des élections à EELV, a confirmé à l'AFP cette réunion dimanche après-midi, tout en dénonçant "le jeu de posture" du PG dans cette affaire.
Selon lui, l'accord, qui pourrait être "finalisé" lundi, doit inclure le Front de gauche dans sa totalité. Ainsi deux circonscriptions gagnables, une dans le Jura et une autre dans le Rhône, ont été proposées au PG, ainsi que 4 ou 5 au PCF.
De son côté, EELV a notamment accepté de laisser au PCF la circonscription de Gardanne (Bouches-du-Rhône) où le Front national est haut et celles de Guingamp et de Bergerac (où il n'y a pas de risque FN). Trois endroits qui revenaient à des candidats écologistes dans le cadre de l'accord conclu avec le PS en novembre. En échange, le PCF devrait soutenir EELV à Aubagne.
M. Cormand s'est par ailleurs demandé "à quel jeu" jouait le PG dont le leader Jean-Luc Mélenchon "va combattre à Hénin-Beaumont (Marine Le Pen) alors qu'il n'y a pas de risque d'élimination de la gauche au second tour".
Le responsable EELV s'est dit "pas sûr que +le bruit et la fureur+ soit la solution durable pour contrer l'extrême droite", jugeant qu'il valait mieux "faire les choses dans la proximité".




