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Fabius "conseille" aux grecs de voter pour les partis pro-mémorandum
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"Il faut bien qu'on explique sans arrogance à nos amis grecs que s'ils veulent rester dans l'euro, ce qui est je crois une majorité d'entre eux, ils ne peuvent pas se prononcer pour des formations qui de fait les feraient sortir de l'euro", a déclaré sur Europe 1 le chef de la diplomatie française.
"C'est très délicat car nous n'avons pas de leçons à leur donner. Mais en même temps, la France qui n'a pas à donner de leçons doit dire les choses à (ses) amis grecs", a ajouté Laurent Fabius. "Il faut bien que chacun comprenne que l'enjeu c'est que les Grecs restent ou ne restent pas dans l'euro. On ne peut pas à la fois vouloir rester dans l'euro et ne faire aucun effort".
Le parti de gauche Syriza, arrivé en deuxième position aux législatives du 6 mai, prône l'annulation des mesures de rigueur prévues par le plan de redressement imposé par l'Union européenne et le Fonds monétaire international en échange des prêts accordés à Athènes jusqu'en 2014.
Devant l'impossibilité de former un gouvernement de coalition, faute de majorité pour aucun des partis, la Grèce a convoqué un nouveau scrutin le 17 juin. Une victoire des formations traditionnelles, Nouvelle-Démocratie (droite) et Pasok (socialistes), sanctionnées le 6 mai pour la rigueur imposée depuis 2010, n'est toutefois pas garantie.




