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Québec: fin de la grève dans de nombreux établissements du supérieur
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les assemblées générales étudiantes des deux derniers cégeps (collèges d'enseignement général et professionnel, qui assurent une transition entre le lycée et l'université) les plus mobilisés et les derniers à ne pas avoir repris les cours, ont voté à une faible majorité pour un retour en classe lundi.
De nombreux étudiants craignaient que la poursuite de la grève n'entraîne l'annulation de leur session et ne rende leur admission à l'université problématique.
Sur les quatorze cégeps de Montréal concernés par cette rentrée anticipée pour rattraper le retard causé par le conflit étudiant, douze ont voté pour la fin de la grève, contre deux qui ont choisi une trêve électorale. Pour ces deux derniers, un autre vote sur la grève sera organisé après les élections législatives du 4 septembre.
Bien qu'ils aient choisi de reprendre le chemin des cours, les étudiants de huit cégeps et de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) ont voté pour une grève ponctuelle lors d'une manifestation prévue le 22 août, selon le syndicat étudiant considéré comme le plus radical, la Classe (Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante).
Une porte-parole de la Classe, Camille Robert, a appelé les étudiants à venir nombreux à cette manifestation mensuelle traditionnelle.
Du côté des universités, les étudiants du département d'histoire de l'Université Laval ont choisi la trêve électorale, tandis que ceux de littérature comparée de l'Université de Montréal ont opté pour la grève.
Au total, 22 universités ou départements tiendront leur assemblée générale la semaine prochaine.
Le conflit étudiant, déclenché en février dernier par l'annonce de la hausse des frais de scolarité, pèsera sur le scrutin à venir. Une reprise de la mobilisation servirait le parti libéral du Premier ministre sortant Jean Charest, dont la position en faveur de la hausse des droits de scolarité est soutenue par une majorité de Québécois. En revanche, le retour au calme pourrait avantager ses rivaux du Parti Québécois.




