Agenda militant
Ailleurs sur le Web
![S’abonner au flux RSS [RSS]](images/rss.jpg)
- La politique selon Jacques Rancière (29/01)
- Les conditions de la victoire (29/01)
- Début 2021, 92 % des avoirs patrimoniaux sont détenus par la moitié des ménages (29/01)
- Législative partielle en Charente : LFI enlève un siège aux macronards (29/01)
- CGT : Marie Buisson peine à s’imposer pour remplacer Philippe Martinez (29/01)
- Pierre-Emmanuel Barré quitte France 5 suite à la censure de sa chronique (29/01)
- La revue Arguments et la Théorie critique (29/01)
- La gauche face à la fracture territoriale - entretien avec Thibault Lhonneur (28/01)
- "Il est temps de mettre un gros stop à une énième réforme des retraites" (28/01)
- C’est qui Frantz Fanon ? (28/01)
- Pourquoi la crise politique et sociale s’enlise-t-elle au Pérou ? (28/01)
- Mon séjour dans une clinique privée (28/01)
- L’espérance de vie stagne en 2022 et reste inférieure à celle de 2019 (28/01)
- Yachts, jets, fusées : les mobilités des super-riches (27/01)
- Projet de loi retraites : Le déficit est-il artificiellement gonflé pour justifier la réforme ? (27/01)
- Comment démocratiser l’université ? (27/01)
- Grèves dans les centrales nucléaires et hydrauliques : "on veut poser la perspective de la reconductible" (27/01)
- "Rien ne rentre, rien ne sort": cinq raffineries en grève ce jeudi, rejointes par les dockers (27/01)
- Retraites. 29 étudiants mobilisés arrêtés : que s’est-il passé au Campus Condorcet lundi soir ? (27/01)
- Retraites : d’une lutte économique à celle politique puis globale, par Laurent Degousée (25/01)
- Comment la fausse conscience entrave notre perception de la réalité (25/01)
- Belgique : Greenwashing sur fond de « relance durable » (25/01)
- Retraites. Plus de 350 personnes en AG à Paris 8 appellent à une interfacs lundi ! (25/01)
- 26 janvier. La grève des raffineurs, énergéticiens et dockers doit servir à construire la reconductible ! (25/01)
- Pourquoi Le Capital de Marx est-il toujours d’actualité? (25/01)
Liens
- Notre page FaceBook
- Site du NPA
- Démosphère (Paris, IdF)
- Site anti-k.org
- Le blog de Jean-marc B
- CGT Goodyear
- Démocratie Révolutionnaire
- Fraction l'Étincelle
- Anticapitalisme & Révolution
- Révolution Permanente (courant CCR)
- Alternative Communiste Révolutionnaire (site gelé)
- Ex-Groupe CRI
- Librairie «la Brèche»
- Secteur jeune du NPA
- Marxiste.org
- Wiki Rouge, pour la formation communiste révolutionnaire
Martinez, candidat à sa propre succession à la tête de la CGT
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L’actuel secrétaire général est pour l’instant le seul candidat déclaré aux élections prévues du 13 au 17 mai à Dijon.
Philippe Martinez, le secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT), a annoncé mercredi 30 janvier, en interne, qu’il se portait candidat pour un nouveau mandat à la tête du syndicat, selon des responsables cités par l’Agence France-Presse. Philippe Martinez, 57 ans, est pour l’heure seul candidat au poste de secrétaire général, a précisé l’une de ces sources. L’élection doit se tenir lors du congrès de la CGT, prévu du 13 au 17 mai à Dijon.
A la tête de la confédération depuis le 3 février 2015, M. Martinez a vu son syndicat perdre sa première place au profit de la Confédération française démocratique du travail (CFDT). Cet adepte d’une ligne « contestataire » qui tranche avec celle de son prédécesseur, Thierry Lepaon, a fait toute sa carrière à Renault Boulogne-Billancourt depuis 1982 comme technicien.
Pas de dividendes pour les actionnaires
Il a démissionné du Parti communiste en 2002 pour des raisons qu’il garde secrètes. C’est donc le premier dirigeant CGT à ne pas avoir de carte au PCF, dont il conserve toutefois un « certain nombre d’idéaux » et un discours appuyé sur la « lutte des classes ».
Au-delà des manifestations et des grèves qui sont ses outils de contestation de prédilection, il porte depuis son arrivée des propositions qui tranchent avec le discours ambiant. Il milite pour une semaine de 32 heures, un smic à 1 800 euros bruts mensuels (contre 1 521 euros actuellement), la retraite à 60 ans, et s’oppose au versement de dividendes aux actionnaires.