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Sur les affrontements le 9 octobre devant le salon de l'auto
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A l’annonce, au début de l’été, de la fermeture de l’usine PSA d’Aulnay, de menaces sur celle de Rennes, de 8 000 suppressions de postes dans le groupe automobile et de la mise en route d’accords "compétitivité-emploi" dans l’usine PSA de Sevelnord, beaucoup de gens ont senti que les attaques contre l’emploi passaient un cap et annonçaient un nouveau cycle plus important de remises en causes sociales tous azimuts. Dans la vague de licenciements d’après les élections, fermer une usine de montage automobile importante était un symbole. L’acceptation par le gouvernement PS-Verts de cette fermeture et des licenciements en était un autre. Ce qui fut confirmé dans la foulée, toujours à la suite des exigences de PSA et du patronat, par la mise en route de discussions tripartites avec le patronat et les syndicats autour de l’idée de faire baisser le coût du travail. Tout cela fermait tout à la fois la parenthèse des illusions électorales. Le gouvernement PS prenait les couleurs d’un gouvernement PSA, les élections et leurs vendeurs de promesses -quels qu’ils soient- paraissaient plus que jamais des charlatans. Aussi quand à cette situation s’ajoutèrent les déclarations de guerre du dirigeant de la CGT d’Aulnay Mercier, elles trouvèrent un écho important et une attente et un espoir à l’égard des travailleurs d’Aulnay et ses dirigeants. Qu’allaient-ils faire ? Leur médiatisation fut l’illustration de cette situation.
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