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Grande manif à Rome contre l'austérité
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Nommé en novembre dernier alors que l'Italie risquait d'être engloutie dans la crise de la dette de la zone euro, Mario Monti a fait adopter une série de mesures douloureuses visant à réduire l'endettement du pays, comprenant hausses d'impôts, baisses des dépenses publiques et réforme du système des pensions.
"Nous sommes ici contre Monti et sa politique, la même politique que dans toute l'Europe, qui a mis la Grèce à genoux et qui détruit la moitié de l'Europe, l'enseignement public, la santé", expliquait Giorgio Cremaschi, un manifestant.
La police était en alerte en prévision d'éventuelles infiltrations par des éléments extrémistes, mais la manifestation s'est déroulée sans incident majeur, mais à part des jets d'oeufs lancés contre des vitrines de banques et des bruits de pétards.
"Unis avec une Europe qui se rebelle. Débarrassons-nous du gouvernement Monti", lisait-on sur une pancarte au hasard de la manifestation.
Le taux de chômage en Italie est monté à son plus haut niveau depuis la tenue de statistique mensuelle en 2004. Les conflits sociaux se multiplient avec les projets de fermetures d'usines.
"Cela fait des années qu'il n'y a pas eu d'investissement. A la place, tout est sous-traité et délocalisé. Nous sommes ici pour dire assez", déclarait une autre manifestante, Caterina Fida.
Mario Monti défend ses mesures d'austérité en affirmant qu'on se souviendra de son gouvernement de techniciens comme de celui qui aura permis au pays de sortir de la crise économique sans avoir recours à l'aide internationale.
Lors d'une autre manifestation dans le nord de l'Italie, des affrontements ont opposé un petit groupe et des policiers à proximité de l'endroit où se trouvait le président du Conseil qui s'exprimait sur le thème des valeurs familiales.




