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Municipales : le délégué syndical de PSA vise la mairie de Poissy
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Engagé sur la scène politique aux côtés de Nathalie Arthaud, la chef de file de Lutte Ouvrière, Jean-Pierre Mercier se lance à la conquête de la mairie.

Jean-Pierre Mercier, le délégué syndical de l'usine Peugeot de Poissy, se lance à la conquête de la mairie sous les couleurs de Lutte Ouvrière. Ce n'est pas une première pour lui. Engagé sur la scène politique aux côtés de Nathalie Arthaud, la chef de file du parti pour la présidentielle de 2017 ou encore les Européennes de 2019, il s'était présenté aux législatives de 2017 sur la 12e circonscription notamment face à David Douillet (LR) et Florence Granjus (LREM). Il avait récolté 0,8 % des suffrages.
Jean-Pierre Mercier est un homme de combat. Car outre les campagnes politiques, il défend les salariés dans le cadre de ses fonctions syndicales. En 2011, il était le leader du front contre la fermeture de l' usine PSA d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). A la suite de l'interruption de l'activité du site, il a rejoint le centre de production de Poissy. Il a élu domicile dans le quartier de la Maladrerie, situé sur les hauteurs de la ville, en 2015.
« Défendre les intérêts des travailleurs »

Jean-Pierre Mercier aux côtés de Nathalie Arthaud, la chef de file de Lutte Ouvrière. LP/Philippe Lavieille.
Le délégué syndical a donc décidé de s'engager pour les municipales. « L'objectif est de défendre les intérêts des travailleurs et que les chômeurs et les retraités puissent se faire entendre », se justifie-t-il.
Le candidat regrette la position de la ville et du département « qui donnent de l'argent à PSA en rachetant des équipements et des terrains du site de Poissy ». « Cet argent enrichit le groupe alors qu'il pourrait être utilisé pour la population, insiste-t-il. C'est de l'argent en moins pour les associations et les habitants ». S'il déplore la réduction des aides financières versées par l'Etat aux communes, il annonce déjà, que « sa politique municipale sera dictée par la politique nationale et le contexte économique ».
Lutte Ouvrière était déjà en lice lors des municipales de 2014. Jean-Claude Bacquet, qui défendait les couleurs du parti, avait recueilli 2,8 % des voix au 1 er tour, très loin derrière Karl Olive (DVD), vainqueur dès le 1 er tour avec 62,4 % des voix et candidat pour un deuxième mandat.




