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Paule Minck : le socialisme aux femmes
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Quatre ans avant que n’éclate la Commune — ou, devrait-on bien plutôt dire, les Communes —, Paule Minck fonde la Société fraternelle de l’ouvrière. L’an 1871 venu, elle ouvre une école, anime des clubs révolutionnaires et prend sa part dans l’organisation des services ambulanciers. Elle a 31 ans ; elle est socialiste et féministe, ou féministe et socialiste ; c’est tout comme. « [A]vec [l’idée socialiste] marche l’émancipation de la femme », dit-elle ainsi. Du moins en théorie… Versailles fond sur la Commune de Paris et la communarde s’exile. Elle disparaîtra en 1901, après s’être engagée au sein du Parti ouvrier français. De son vivant, un périodique suisse évoqua, pour déplorer « la révolution des femmes », « deux mégères de distinction : Louise Michel et Paule Minck ». Si la première a aujourd’hui tout de la légende, la seconde n’a pourtant l’attention que des spécialistes. Peut-être cela changera-t-il : en 2021, à l’occasion du 150e anniversaire de la Commune de Paris, un jardin public a pris son nom dans la capitale. Portrait de la militante et journaliste. ☰ Par Élie Marek
BALLAST • Paule Minck : le socialisme aux femmes (revue-ballast.fr)




