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10 ans après le référendum grec, les leçons d’un coup d’État austéritaire - Frédéric Farah
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Il y a dix ans, le 5 juillet 2015, avec une clarté à toute épreuve, le peuple grec disait « non » aux mesures d’austérité du plan européen que le Premier ministre d’alors, Alexis Tsipras, lui proposait d’avaliser. Ce « non » populaire a été foulé aux pieds et la Grèce a ensuite subi un nouveau train de mesures austéritaires imposé par la Troïka. La coalition de gauche a ensuite été emportée dans les défaites électorales, et Tsipras est allé rejoindre, à raison, les oubliés de l'Histoire. Comme souvent, la politique est une affaire de récits. Les instances européennes et leurs affidés se sont pressés de nous offrir un storytelling à leur avantage : après une période de nécessaire austérité, la Grèce aurait renoué avec la prospérité ; la porte des marchés financiers lui serait à nouveau ouverte, et elle emprunterait même pour moins cher que d'autres pays européens comme la France. Mais qu’en est-il réellement dix ans après, alors que la Grèce ne voit plus les regards se porter sur elle ? Doit-on accorder du crédit à ce récit lénifiant censé justifier l’austérité ? La crise grecque et ses lendemains en disent long sur l’état de déliquescence de la démocratie dans l’Union européenne et sur les impasses de l’austérité. Dix ans à reparcourir pour comprendre la fragilité dans laquelle l’Union européenne se trouve désormais.
10 ans après le référendum grec, les leçons d'un coup d’État austéritaire - Frédéric Farah - Élucid




