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Grandeur et décadence du maximalisme
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le titre de cet article est recopié d’un titre de chapitre du livre d’Angelo Tasca : « Naissance du fascisme », une référence dans la compréhension de l’apparition du phénomène fasciste, pour la première fois au monde, et en Italie. Pourquoi est-il né en Italie ? L’Italie au début du XXe siècle concentre la problématique majeure pour le marxisme d’un pays secondaire où le prolétariat ne s’est pas développé aussi lentement et longtemps qu’en Angleterre et en France, et qui, lorsqu’il surgit dans l’explosion industrielle de ce pays tardivement unifié résume toute la contradiction des prévisions marxistes (avec la Russie) en posant la question de la révolution prolétarienne alors qu’elle devait se poser dans les pays plus développés, plus tôt industrialisés. Cette contradiction n’en est pas une en soi, puisque aussi bien le prolétariat russe qu’italien, dans des pays encore en partie dominés par les restes de la féodalité, présentent de fortes concentrations prolétariennes à vocation internationaliste dans un marché déjà mondialisé et régi par la compétition impérialiste. Le prolétariat italien n’a jamais pu être très national et fût un des premiers viviers d’immigration massive dans un aller et retour vers une mère patrie peu considérée comme telle. Ce prolétariat était originellement en quelque sorte « citoyen du monde ». Je ne me souviens plus de qui a dit que les italiens modernes se vantaient d’avoir perdu toutes leurs guerres[1]. Ce n’est pas un hasard si on trouve des italiens partout à la naissance du mouvement d’émancipation communiste, les Buonarrotti et Blanqui dès après la révolution française.
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