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Grèce

Lien publiée le 2 novembre 2011

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Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

La direction réformiste de Syriza a condamné les protestations de masse qui ont perturbé les défilés militaires du 28 octobre, et qui ont sans doute précipité l'annonce de Papandréou. Des composantes de Syriza commencent à protester. C'est le cas du groupe KOE (issu du maoïsme) : LIRE LEUR DECLARATION

L'Union européenne et le Fonds monétaire international se fâchent contre Papandréou : ils ne verseront pas la sixième tranche d'aide à Athènes, de huit milliards d'euros, tant que la Grèce n'aura pas organisé le référendum annoncé par le Premier ministre George Papandréou, a-t-on appris mercredi de sources proches du FMI et de l'UE.

Vasso Papandreou (aucun lien de parentèle avec le Premier ministre), l'une des figures de proue du Pasok, a demandé mardi au Président de la république de prendre l'initiative de la constitution d'un gouvernement « de salut national » soutenant le dernier plan d'aide européen et chargé d'organiser les prochaines élections à la date prévue, en octobre 2013. Les dirigeants du principal parti de droite réclament pour le moment des élections anticipées.

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Extrait du communiqué d'Antarsya d'aujourd'hui : "L'initiative du Premier ministre d'aller au référendum est une tentative pour sortir de l'impasse qui a conduit à des options de «sauvetage» du capital. Le gouvernement, cependant, secoué et s'effondre sous le poids de la réaction des travailleurs. La grève de 48 heures du 19-20 Octobre politiques, la «parade» de la colère populaire du 28 Octobre, un mécontentement généralisé et l'indignation, le fossé profond qui s'est creusé entre les personnes travaillant et le système politique, d'autre part, sont les principales causes de la désintégration du gouvernement de la misère et la faillite"

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La coordination de syndicats de base appelle à une manifestation jeudi à 18h à Syntagma (devant le parlement) (http://edopolytexneio.gr/news/2026)

La rivière ne peut jamais aller en arrière! Les travailleurs et le peuple vont battre le terrorisme, le chantage et l'attaque contre ses droits, réalisée par la dictature du gouvernement, de l'UE, du FMI, du capital et de toutes les forces politiques qui les soutiennent. L'annonce du referendum de la part du gouvernement des mémorandum, d'extermination via le travail et de vente des biens publics, ne fait qu'intensifier le chantage. Pour le « sacré » de l'internationale des usuriers, des multinationales européennes et des exploiteurs natifs, le gouvernement n'ose pas à conduire le peuple à la faillite totale, proie pour la surveillance de Troika.

La rivière ne peut jamais aller en arrière! La rage du peuple ne se désamorce pas par des référendums, par des dilemmes de chantage ni par l'attente des urnes. La rage du peuple les virera bientôt, avec tout autre candidat éventuel à gérer la guerre sociale, qu'il soit technocrate ou politicien.

Tous les travailleurs ensemble dans un front des travailleurs et du peuple. Un front de lutte, de rupture et de bouleversement. Pour que le gouvernement du PASOK, le Troika, la Surveillance et tous les dirigeants de l'attaque partent. Pour que le mémorandum, l'accord honteux sur la dette et toutes les lois dérivées soient bouleversés. Pour l'arrêt de paiement aux usuriers et pour la suppression de la dette. Pour la rupture avec l'UE et le FMI. Pour la nationalisation des banques et des entreprises stratégiques sous contrôle ouvrier. Pour une redistribution radicale de la richesse au détriment des profits. Nous intensifions notre lutte avec la grève, l'occupation et les manifestations. Nous pouvons MAINTENANT, avec de l'action déterminée et de la coordination les virer définitivement.