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Grève à EDF
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Figaro) Le 21 janvier dernier, c'est la perspective de la libéralisation des concessions hydrauliques ainsi que les suppressions de postes qui avait mobilisé les salariés d'EDF. Cette fois, c'est le projet de fermeture de deux centrales au fioul qui provoque une nouvelle journée de grève ce jeudi.
Le début d'année est agité chez EDF sur le plan social. Quasiment un mois après l'organisation d'une journée de grève (le 21 janvier) provoquée par la perspective de la libéralisation des concessions hydrauliques et par l'annonce d'un plan social, les salariés de l'électricien se mobilisent cette fois autour de la réorganisation du parc thermique. Ce jeudi, les syndicats veulent ainsi protester contre le projet de fermeture des deux centrales au fioul de Porcheville (Yvelines) et Cordemais (Loire-Atlantique).
Un comité central d'entreprise (CCE) se tient ce jour pour préciser les modalités du dossier. Les deux usines en question doivent de toute façon fermer en 2023 pour des questions réglementaires - liées au respect des normes environnementales - mais la direction d'EDF entend bien que Porcheville et Cordemais puissent fermer avant l'échéance de 2023. Plus précisément, l'horizon qui est visé est celui de 2018.
Nombreux sujets d'inquiétude
Dans l'entourage d'EDF, on précise depuis le début de la revue des installations thermiques que l'arrêt des deux centrales au fioul ne débouchera sur aucun licenciement. On rappelle aussi que ces deux unités sont extrêmement coûteuses pour l'entreprise puisque que le fioul, en termes de priorités, est la dernière énergie appelée sur le réseau, loin derrière les énergies renouvelables. De telle façon que ces infrastructures ne tournent que quelques heures par an, voire quasiment pas.
De manière générale, les syndicats d'EDF sont conscients des contraintes qui pèsent sur les centrales thermiques mais ils entendent également profiter de cette journée de jeudi pour rappeler les nombreux sujets qui les inquiètent: outre la question des concessions hydrauliques, EDF a annoncé au mois de janvier qu'il allait supprimer 5% de ses effectifs en France. Quelque 4000 postes ne devraient ainsi pas être renouvelés.