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Podemos à mi-chemin
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les élections générales du 20 décembre dernier en Espagne n'ont accouché d'aucune majorité absolue. Podemos, troisième force politique — derrière le Parti populaire et le Parti socialiste ouvrier espagnol —, s'est conformé au jeu des alliances avec pour ligne de mire un accord de gouvernement avec ledit Parti socialiste et Izquierda Unida (coalition de gauche radicale). Quatre mois de négociations plus tard, les pourparlers n'ont rien donné, sinon une clarification supplémentaire : les « socialistes » espagnols ont préféré s'entendre avec le parti libéral Cuidadanos (avec, dans leur mallette, l'éternel projet de « grande coalition » des réformateurs). Le pays va vers de nouvelles élections en juin, comme le prévoit la Constitution. Podemos est donc face à une question stratégique : faut-il s'allier avec Izquierda Unida pour dépasser le Parti socialiste ? Íñigo Errejón, secrétaire politique de Podemos, émet des doutes. Dans cette




